Que penses-tu de ceci :
Citation:
La cause majeure de variation du climat n'a rien à voir avec l'homme : elle est la conséquence de la variation cyclique de certains paramètres astronomiques de la Terre, qui modifient la quantité de rayonnement qu'elle reçoit du soleil.
Ces variations astronomiques créent des "saisons astronomiques" de très longue durée, comme il existe des saisons "normales" au cours d'une année.
Les paramètres astronomiques qui varient au cours du temps sont : la variations d'excentricité : on pense couramment que l'orbite de la Terre est un cercle. En fait ce n'est pas le cas : l'orbite de notre planète est légèrement elliptique. Sur de longues périodes, cette ellipse est plus ou moins allongée (son excentricité varie), ce qui modifie la distance moyenne Soleil-Terre. Sans être parfaitement cyclique, cette variation a une périodicité qui est de l'ordre de 100.000 ans.
des variations d'obliquité : l'inclinaison de l'axe des pôles par rapport au plan de l'orbite terrestre (on parle de l'écliptique) varie au cours du temps de plus ou moins 1°30', suivant un cycle de 40.000 ans environ.
la précession astronomique : l'axe des pôles décrit un cone dont l'axe est la perpendiculaire au plan de l'orbite. Ce mouvement a une périodicité de 26.000 ans, et une conséquence amusante : en 13.000 ans, les saisons s'inversent ("à la place" de l'hiver on trouve l'été).
Ces variations astronomiques, même si elles sont lentes, sont les causes majeures des évolutions du climat sur de longues périodes. Et de fait, ces "petites variations" astronomiques se transforment en "grandes variations" sur le climat. Qu'à la même époque de l'année on trouve l'hiver plutôt que l'été n'est pas un changement mineur !
Source :
http://www.manicore.com/documentation/serre/passe.html
Bien qu'exacte cette information n'est peut-être pas bonne à mettre dans la connaissance "populaire", parce que des personnes que çela arrange, anesthésient les cconsciences, si conscience il y a en disant, "voyez ce n'est pas la pollution qui réchauffe le climat, l'homme n'a rien à voir, c'est tout-à-fait naturel".
C'est comme quand un médecin dit "un verre de vin par jour ce n'est pas mauvais pour la santé', des gars interprétent : "je peux m'envoyer mes trois bouteilles de pinard par jour, le médecin à dit c'est bon".
Moi, j'ai fait ma propre opinion en parlant avec les "anciens" des personnes lucides et les plus âgées possible (80-90 ans et plus), je me suis fait raconter en évitant le passéisme comment c'était "avant" le climat, avant le déferlement technologique à outrance et je suis édifié. En une vie d'homme les dégâts à la nature sont immenses, j'ai parfois l'impression que ces personnes me parlent d'une autre planète. Et cela, n'a rien à voir avec l'astronomie, mais bien avec l'activité délirante et suicidaire de l'homme sur la nature.
Le non-respect de la nature est actuellement viscéral chez pas mal de personnes. J'aime me balader dans la nature en dehors des villes et des sentiers battus et j'ai constaté une chose, les dépôts sauvages d'ordures s'amplifient sans cesse, je n'arrive plus à trouver un coin de nature propre sans renconter un sac poubelle abandonné par un incivique. Malgré les beaux discours des hommes politiques l'escalade continue.
Que peut-on attendre de telles personnes irrespectueuses à la base même de la nature et elles sont légions, strictement rien! Ces sombres pollueurs qui se croient à l'abri dans leurs maisons en préfabriqués enfermés à double-tour au sein de leurs villes toxiques, strictement rien !
La politique de l'autruche est d'application du plus bas au plus haut de l'échelle de la société humaine. Nous sommes en marche à la vitesse d'un TGV à vitesse exponentielle vers une catastrophe écologique mondiale majeure.
Pendant ce temps tout le monde dort, c'est trés bien, mourir pendant son sommeil, on dit que c'est "une belle mort".
C'était mon "coup de gueule"

, car je suis atteré par l'immobilisme et l'inconscience des hommes qui ont le pouvoir de changer leur destin fatal et qui se comportent d'une façon aussi primitive. Ils se couchent et attendent la mort sans réagir comme un animal impuissant.