Oui, mais nous devons être prêt à faire d'importants sacrifices dans notre vie quotidienne, c'est là que le bât blesse.
Les hommes (humanité) surtout du côté des "nantis" n'ont vraiment pas envie de sacrifier leur confort (éphémère), les bouleversements sont trop importants pour nous qui sommes installés dans une vie relativement confortable, même si pour l'avoir nous devons généralement travailler dur pour la pluplart d'entre nous.
Pour y parvenir premièrement, il faut strictement réglementer toute l'industrie mondiale au niveau pollution, sacré travail s'il en est.
Ensuite et là ça va râler, supprimer TOUS les transports individuels terrestres et aériens (bonjour le chômage pour les fabricants des véhicules), renforcer et mettre au top niveau tous les transports en communs.
Réglementer les moyens de chauffages individuels (re-insatisfaction totale).
Supprimer tous les avions (jet) qui polluent l'atmosphère à haute altitude (extrêmement nocif) et les remplacer par la toute nouvelle génération d'avions à hélices (props).
Combien d'entre nous sont-ils prêt à mettre leur voiture à la ferraille au nom de l'environnement ? Réponse = proche du zéro absolu.
Donc, il ya bien un moment critique ou les gouvernements bon gré mal gré (énorme perte de revenus, taxes) vont êtres obligés de prendre des déçisions forcément impopulaires et devront compenser les pertes en appliquant des nouvelles taxes sur d'autres produits de consommations (re:impopulaires), cela risque vraiment de "tourner au vinaigre" comme on dit populairement, attendons-nous a des grosses manifs et autres émeutes dans les rues, voir plus grave encore.
En supprimant toutes pollutions dés maintenant, on estime qu'il faudrait 150 ans pour revenir à la"normale", donc pendant quelques décennies, il faut bien penser que la situation va encore se détériorer même en prenant d'énormes mesures anti-pollutions.
Ce qui veut dire que les surfaces cultivables vont se réduire et diminuer en productions (famines ?), le réchauffement va également induire une augmentation des maladies épidémiques.
L'avenir est tout, sauf rose.
