J'aurais besoin de quelque avis, concernant ce livre "Enquetes sur les Vampires" ce livre et tres intéressant à lire, mes me pose quelque question, à savoir si tout ce qui a marquer dans ce livre et véritablement vrai, ou à t il tout simplement étais romancer pour assouvire le fantasme vampirique.
j'ai essayer de me renseigner sur l'ISPM, savoir si cette société existe vraiment, mes hélas à par des parties du livres je n'est rien trouver,
voici quelque passage du livre, prix sur ce blog, car il à publier quelques pages, si vous pouvait prendre le temps de lire en entier ce skyblog, pour pouvoir dire vos impréssion.
http://enquetes-specials.skyrock.com/( désoler je ne sait pas comment faire, pour pouvoir cité les textes)
[L'ISPM fut fonfé en 1967 par le psychologue Wolfgang Füssli, professeur à l'université de Zurich et membre honoraire de la Society for Psychical Research. L'ISPM regroupait à l'origine une poignée d'enseignants et de chercheurs intéressés par ce que l'on a coutume d'appeler le « surnaturel. » Füssli, toutefois, réfutait ce terme, lui préférant celui « métanaturel. »
« Les phénomènes que nous étudions ne sont nullement surnaturels. Nous nous faisons fort de les oberver, de les quantifier et de les décrire en utilisant les outils que la science met à notre disposition. »
L'ISPM se heurta rapidement à l'incrédulité et à l'hostilité des autres chercheurs et enseignants. Les subventions furent suspendues, les locaux initialement mis à disposition réquisitionnés pour des travaux « plus sérieux ».
En 1968, Wolfgang Füssli démissionna de son poste, vendit ses biens propres et acquit une propriété isolée à Gontenschwil dans le district de Kulm. L'ISPM y prit ses quartiers. Au fil des ans, aidé par quelques mécènes, l'institut se dota de moyens de plus en plus sophistiqués, de nouveaux membres le rejoignirent, et son champ d'investigation initia s'élargit considérablement.
Grâce au travail inlassable de Füssli et des hommes et femmes remarquable qui le secondaient, l'institut constitua un fonds d'archives sans équivalent au monde, en faisant main basse sur des documents provenant d'agences gourvernementales, de services secrets, de cabinets noirs, d'organisme n'ayant aucune existance officielle... Se déssinèrent peu à peu les contours d'une réalité obscure, terrifiante et secrète, une réalité que l'ISPM décida avec courage de révéler au grand public.
En 1987 fut publié le premier bulletin de l'ISPM dont l'éditorial, signé par Füssli, ébranla les esprits.
« Il est plus que temps de jeter une lumière crue sur ce que l'on s'ingénie depuis des siècles à tenir dans l'ombre. Le devoir de tout homme de science est d'éclairer non d'obscurcir et ce quelle que soit la nature formidable ou hideuse de l'objet de ses patientes recherches. Aujourd'hui, après des années de doute, de remise en question, nous sommes en mesure de l'affirmer : les phénomènes métanaturels sont partout présents et nombre d'entre eux font planer sur nos vies une terrible menace. »
Quelques mois plus tard, Wolfgang Füssli trouva la mort dans un accident de voiture aux circonstances troublante. Mais cette tragique disparition n'affaiblit en rien la détermination des membres de l'ISPM. Sous la direction de la propre fille de Füssli, Urania Metbach, faisant fit des pressions et des menaces, l'institut poursuit sans relâche l'étude des entités métanaturelles et communique au grand publics les résultats de ses recherches.
« Face aux ténèbres, le savoir est la meilleure des armes et l'ignorance la pire des faiblesses. » Wolfgang Füssli ( 1923 - 1988 ) ].
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[ La question se pose de savoir si légendes et mythologies reposent sur des faits réels et observés, ou si elles sont réductible à une interprétation symbolique de pulsions bien humaines, dans laquelle les tenants du folklore ou fantasme personnes. Ici comme en Egypte, les preuves de l'existance des vampires abondent mais restent souvent sujettes à caution, et la question des origines demeure un mystère. Le faisceau de fables et de récits concordants, toutefoisn oblige bel et bien les spécialistes à prendre le phénomènes au sérieux, ne seraitèce que sur un plan anthropologique. De fait, accolés bout à bout, les mythes grecs composent un tableau à peu près exhaustif des caractéristiques vampiriques les plus connues.
Les Ombres du royaune d'Hadès, par exemple, sont friandes du sang des victimes, ainsi que le précice Homère lui-même dans le chant X de l'Odyssée. Les Anciens craignaient l'errance sur Terre s'ils n'étaient pas enterrés par leur famille ou leurs amis, car le repos définitif venait de l'incinération. Aristée, Platon et Démocrite soutenaient quant à eux que l'âme pouvait demeurer auprès des morts privés de la sépulture, les âmes malheureuses et errantes se laissant attirer par l'odeur du sang. On se référera aussi à Porphyre de Tyr (Des sacrifices, ch. II « Du vrai culte »).
Dans le désormais introuvable Hécate et ses enfants morts (1927), l'anthropologue Alphonce Grenaille ne craint pas d'interpréter ces sources en s'appuyant sur des recherches locales et des entretiens avec des paysans grecs : « Le non-mort est bien présent. La nuit venue, il hante les champs, saigne le bétail, profère anathèmes et malédiction. Les expéditions punitives sont rares, car notoirement risquées. Les vieux grecs préfèrent voir en l'existence des vampires une calamité naturelle, résurgence des temps anciens, colère des dieux oubliés qui sourd de la terre comme le sang quitte un coeur sclérosé. »
En Crète, selon Pausanias, on enfonçait dans la tête de certains mort un clou de fer. Pour les empêcher de revenir ? Ici, la figure du vampire se confond avec celle de l'âme en peine ou de la goule mangeuse de chair. « Les vampires, poursuit Grenaille, ne sont pas les créature élégantes et sophistiquées que la littérature s'est tant de fois plu à décrire. Ils sont des monstres perdus, égarés à la surface et dont seul le sang, animal ou humain, peut apaiser la terrible et inextinguible soif de vivre. » Collin de Plancy, dans son fameux Dictionnaire infernal (voir Annexe), fait plus que lui emboîter le pas : il livre à ses lecteurs quantité d'informations sur les broucolaques grecs, appelés vrykolakas de nos jours et, ce faisant, revitalise le mythe. ].