Liwar a écrit:
Commence à être pénible, Enki...
Je sais, ce commentaire n'est pas constructif. Mais je le publie quand même.
Tu deviens lourd à la fin. Tu ne vas quand même pas me faire des réflexions à chaque fois que je poste un nouveau message. Ca commence à devenir de l'acharnement.
Dit moi, qu'est-ce qui est pénible? Que je m'exprime? Lamart m'a demandé de continuer le débat sur une page traitant de la combustion spontanée et c'est ce que j'ai fait.
Si tu n'aimes pas mes intervention tu n'as qu'a ne pas intervenir sur le sujet, après tout il existe des centaines d'autres sujets sur le forum.
Si ton intention était de me provoquer c'est loupé. Je sais que tu fais partie des intouchables aux yeux de la modération, mais ce n'est pas une raison pour me manquer de respect, je ne t'ai pas insulté alors laisse moi tranquille s'il te plait.
Lamart a écrit:
Tu devrais vraiment lire les liens que tu postes :
Citation:
Selon le docteur Cristian Palmiere, du Centre universitaire romand de médecine légale de Genève, "tout se passe comme si le corps brûlait comme une bougie, la graisse humaine étant la cire tandis que les vêtements enflammés et imbibés de graisse servent de mèche. Ayant pris feu, les vêtements brûlent la peau qui, une fois carbonisée, se fissure. La graisse sous-cutanée s'écoule alors, entretenant le long processus de combustion. Elle ne brûle que lorsque sa température atteint au moins 250 °C". Les parties du corps les plus calcinées sont celles qui renferment d'abondantes quantités de graisse.

Je te rassures, j'ai bien relu l'article. D'ailleurs ce que tu cites, n'est que l'avis du docteur Cristian Palmiere qui est représenté par le « Selon le docteur Crisitan Palmiere, ... » ceci ne constitue pas l'unanimité, et pour preuve, en conclusion il est écrit:
Citation:
A ce jour, reconnaît le professeur Quatrehomme, "il est encore difficile d'expliquer comment se produit l'ouverture cutanée par laquelle s'écoule la graisse humaine. Nous manquons peut-être de travaux expérimentaux pour démontrer la théorie de l''effet mèche'." Sans doute aussi de volontaires pour donner leur corps à la science.
Si l'avis du docteur Palmiere avait été accepté comme un fait, le professeur Quatrehomme aurait déjà trouvé une explication à la question qu'il se pose dans la conclusion de l'articule du journal Le monde.
Une autre hypothèse à retenue mon attention, celle de la possible influence des champs magnétiques terrestres, dont on ignore l'effet sur les mécanismes biochimiques qui sont continuellement en cours dans le corps humain. Elle repose sur une étude de Livingston Gerhart, publiée en avril 1975 dans Poursuit, la revue de la Society for the Investigation of the Unexplained, basée aux États-Unis. S'étant fait communiquer les données des variations du champ magnétique terrestre - variant de 0 gauss, équivalent au calme, à 2 Gauss, équivalent à une tempête magnétique - dans les régions où avaient eu lieu des combustions spontanées, ce chercheur a relevé des coïncidences significatives dans six cas:
- Le 5 janvier 1906, ce champ avait subitement atteint une intensité de 2 gauss; ce fut le jour où Elisabeth Clark fut trouvée agonisant de ses brûlures dans une chambre intacte;
- Le 4 août 1941, ce champ avait atteint 1,7 gauss; ce jour-là, Lois Irene Chapman fut trouvée calcinée sur une chaise longue, avec peu de dommages environnants, comme dans plusieurs autres cas;
- Dans la nuit du 18 au 19 novembre 1943, le champ magnétique local était de 1,9 gauss; Madge Knight fut retrouvée grièvement brûlé dans des draps intacts; elle mourut le 6 décembre;
-Le 30 juin 1952, un homme non identifié fut trouvé calciné dans une voiture intacte ; ce jour-là, le champ magnétique atteignait 2 gauss;
- le 14 décembre 1959, Billy Peterson fut trouvé atteint de brûlures internes et externes du troisième degré, alors que ses vêtements étaient intacts; le champ magnétique avait dépassé 2 gauss;
- le 30 octobre 1963, Olga Worth fut trouvée calcinée dans une voiture intacte; le champ magnétique avait atteint ce jour-là 1,9 gauss.
Six coïncidences invitent à retenir l'hypothèse d'une action de type inconnu du champ électromagnétique terrestre sur l'organisme. Celle-ci serait comparable à un coup de foudre invisible, ce qui expliquerait son caractère exceptionnel. Il ne s'agit donc pas d'un accident paranormal, au sens que l'on donne trop souvent à ce mot : c'est un accident non expliqué.