Vinvin a écrit:
Il m'a parlé d'un point tantôt : une troisième immeuble qui se serait effondré beaucoup trop vite. On aurait comparé le temps de chute du bâtiment avec celui d'une brique. Ce bâtiment se serait effondré aussi vite que la brique ne tombe, comme s'il tombait dans le vide, sans aucune résistance. j'ai du mal à comprendre l'intérêt de ce test, car je ne connais pas le poids de l'immeuble, de sa conception... New-york n'étant pas sur une région à risques de tremblements de terre, je présume que l'édification des buildings se fait en fonction, sans renforcement d'armature conséquent.
Ca reste mon avis mais je présume que des personnes plus éclairies auront déjà démentis ce test.
une brique ou un million de briques tomberont à la même vitesse dans le vide, une brique à vingt centimes ou un lingot d'or tomberont aussi à la même vitesse (approximativement), un immeuble en démolition contrôlée, s'écroule approximativement à la vitesse d'une seule brique en chute libre, pas bisard, il suffit de faire s'effondrer l'immeuble en prenant soin, après calcul, de lui offrir la moindre résistance, à dire de détruire par explosifs les points qui le font tenir sur place, de facto, les milliers de briques qui composent l'immeuble s'effondre comme une seule, pour les twin towers c'est plus compliqué, en effet, selon la thèse officielle, nul dispositif aménagé pour un effondrement ressemblant à une démolition contrôlé n'était en place. Alors pourquoi s'effondrent-elles approximativement à la même vitesse que l'aurait fait une démolition contrôlée?
Une démolition contrôlée c'est la destruction par explosifs des points qui supportent la charge d'un immeuble (vide), la destruction des supports "points par points", encore à dire que l'étage le plus haut s'effondre à la même vitesse que les étages inférieurs, chaque étage s'effondred'une seule et même manière optimalement, or, une explosion significative sur une partie d'un immeuble peut suffire à faire écrouler l'ensemble, il suffit que le poids ou la masse de cette partie tombe en chute "libre" sur le reste, le poids suffit alors à faire exploser "point par point" chaque étage inférieur au fur et à mesure de la chute, qui s'affaissent alors, vue le poids, de manière accélérée en opposant une résistance insuffisante, mais réel, à la charge toujours supérieur qui s'écroule sur lui, les deux mesures s'annulent grosso modo, et pourvu que la hauteur ne soit pas incommensurable, l'ensemble touche terre approximativement à la vitesse d'une démolition contrôlée