Hommes en noir
A la fin des années 1980s (témoignage enregistré le 10 octobre 1990) :
J'ai effectué mon service militaire en tant que maître chien sur le plateau d'Albion. J'ai été témoin de faits troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement étrangers à la base prennent le contrôle de celle-ci pendant plus ou moins 48 h. Ils arrivent en convoi spécial, camions et voitures de couleur noire, leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont très grands avec une peau de couleur très blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces hommes ne se mélangent jamais avec les autres militaires de la base et ils prennent le contrôle total de celle ci, ils reçoivent leur nourriture par camions spéciaux et on ne peut que les apercevoir que la nuit.
Un soir j'étais de garde avec mon chien et je suis passé à proximité d'une grande salle en sous-sol qui ne possédait que quelques petites fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites fenêtres mon chien est devenu très nerveux, j'ai alors regardé par une de ces fenêtres et là j'ai vu ces hommes en réunion. La nuit était totale et personne ne pouvait m'apercevoir. Cependant au bout de quelques instants un de ces hommes s'est retourné en direction de cette fenêtre - comment a-t-il su que j'étais là, je ne le sais pas - à ce moment là une peur incompréhensible s'est emparée de moi et mon chien est devenu complètement fou. J'ai tiré mon chien et je suis parti très vite continuer mon tour de garde.
Un autre soir étant encore de garde, j'aperçois par une fenêtre d'un local hautement sécurisé des faisceaux de lampes torches comme si quelqu'un cherchait quelque chose, la base était depuis l'arrivée de ces commandos en stade maximum d'alerte. J'avertis par radio l'officier de garde de cette anomalie mais celui ci me fait comprendre de passer mon chemin et que je n'avais rien vu.
Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de garde j'ai consigné cette observation sur un carnet.
Le lendemain matin un officier me fait appeler pour me dire que ceux que j'avais vu la nuit précédente était certainement une hallucination. Par la suite en rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait été fracturé et mon carnet de note ainsi que mon appareil photo avaient disparu.
Un ami aussi maître chien avait, lui, pu prendre des photos de certaines choses anormales et il avait aussi dessiné un portrait d'un de ces hommes. On a retrouvé mon ami sauvagement tabassé à l'extérieur de la base et bien sûr son placard avait été vidé complètement. Comment avait-il fait pour sortir de la base, alors que celle ci, en alerte maximum, personne ne pouvait sortir ? Ces blessures étaient tellement graves qu'un hélicoptère est venu le chercher pour le rapatrier à l'hôpital militaire de Laveran à Marseille.
Quand ces commandos étaient sur la base, on avait interdit aux maîtres chiens certaines zones, l'explication des officiers étaient que "les chiens sont trop sensibles".
Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes, quand les commandos étaient sur place tous les soirs ils hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la tète contre les grilles de leurs cages et cette situation était invivable. Au lever du jour tout redevenait normal.
Le vétérinaire - appelé du contingent et faisant des études pour devenir vétérinaire - était très étonné de la réaction incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir plus et a fait des prélèvements de salive et de sang sur quelques chiens, mais un officier lui a ordonné de laisser tomber ces analyses.
Quelques jours plus tard mon chien est tombé malade et un autre vétérinaire totalement étranger à la base est venu le chercher. J'ai protesté vivement car je pense qu'on aurait pu le soigner sur place. C'est alors qu'un capitaine est venu vers moi en me disant "c'est une affaire top secret". Par la suite j'ai su que mon chien était mort et qu'il avait subi une autopsie.
Source :
Plateau d'Albion (base militaire)
Des "ovnis" auraient également été fortement intéressés par les installations nucléaires françaises.