Un lien vers un article intéressant bien que complottiste

....un peu long et parfois un peu tiré par les cheveux...on y trouve entre autres une photo du pentagone juste après le crash...si mes yeux sont bons, les lampadaires n'ont subi aucun outrage.....
http://yves.ducourneau.club.fr/119/pentagone.html
Je fais un copier coller de Quelques réflexions qui méritent qu'on s'y attarde :
Débris du Boeing 757
Photos de la carcasse de la carlingue : il n'y en a pas.
Photos de restes d'empenage, d'ailes : il n'y en a pas.
Photos de la carcasse des réacteurs (deux tonnes chaque, faits d'un alliage d'acier et de titane) : il n'y en a pas.
CONCERNANT L EFFONDREMENT DES TOURS
La température dégagée par la combustion du kérosène et de tout ce qui se trouvait dans les bureaux du WTC n'a sans doute pas dépassé les 600-700 degrés C. À cette température, l'acier (dont le point de fusion est de 1500 degrés) perd une bonne partie de sa rigidité. Mais même en considérant le fait que la structure métallique des étages directement touchés par le crash était partiellement endommagée, il est loin d'être certain que la température, la durée et l'étendue de l'incendie aient été suffisantes pour déformer et faire céder les poutres restées intactes. Il est probable en tout cas que la déformation de celles-ci aurait été assez lente et qu'il n'y aurait pas eu d'effondrement subit.
Lorsque les 30 étages supérieurs de la tour Nord se sont affaissés sur les 80 étages restants, ces derniers ont été soumis "collectivement" à une surcharge (théorique) d'environ 37 %, puisqu'ils ont dû supporter à eux seuls le poids de l'ensemble de la tour (110 étages). Dans le cas de la tour Sud, l'excédent de poids (théorique) à été de 57 %. En tenant compte des fondations, ces pourcentages sont encore plus faibles (respectivement 33 et 50 %). Certes, ces chiffres ne tiennent pas compte de tous les facteurs ; ils sont approximatifs mais donnent néanmoins un ordre de grandeur. La surcharge à supporter par la charpente métallique intacte des étages inférieurs du WTC n'était donc pas aussi dramatique qu'on veut nous le faire croire.
Pour ce qui est des planchers, on peut à la rigueur imaginer qu'ils aient cédé un par un sous le poids en rompant leurs attaches avec le squelette d'acier. Mais, sans un "petit coup de pouce", ce phénomène ne pouvait pas se produire de manière systématique et régulière au rythme de plusieurs étages par seconde jusqu'à la base des tours. Et surtout, les poutres de la façade et du noyau central (toutes encore intactes après le crash) n'auraient pas pu suivre le mouvement. Une très grande partie du squelette aurait dû rester debout, déformée sans doute mais encore debout.
Qu'un gratte-ciel puisse s'effondrer comme le WTC, cela ne s'est encore jamais vu – et pourtant on en construit depuis plus d'un siècle. Si la chose était possible, il faudrait définitivement renoncer à ériger ce type d'édifice pour des raisons évidentes de sécurité. D'autre part, les entreprises de démolition disposeraient désormais d'une nouvelle technique absolument révolutionnaire : il suffirait de faire sauter quelques étages dans la partie supérieure d'une tour, et tout le reste suivrait bien gentiment une heure plus tard. La méthode est-elle déjà brevetée ?...
Selon un des architectes du World Trade Center, les tours avaient été conçues, à la fin des années 60, pour résister au crash d'un Boeing 707-340, le plus gros avion en service à l'époque. Les 767 impliqués sont à peine plus grands et plus lourds, leur vitesse de croisière est inférieure, la capacité des réservoirs de carburant est la même.
Concernant Le Pentagone
On a prétendu plus tard que la carcasse de l'appareil s'était "volatilisée" ou "évaporée" sous l'effet de l'extrême chaleur. Explication passablement abracadabrante quand on sait que l'alliage d'aluminium utilisé dans l'industrie aéronautique a une température d'ébullition d'environ 2500 degrés C. Or, le kérosène en combustion dégage une température bien inférieure et de toute manière, on nous dit que l'explosion s'est produite hors de l'édifice .Mais comme par magie, tout ce qui se trouvait autour du Boeing "disparu en fumée" est demeuré à l'état solide et il a été possible, paraît-il, d'identifier les victimes, y compris celles qui se trouvaient dans l'avion désintégré ! Les gars qui ont mis au point cette fabuleuse technique d'analyse de l'ADN "gazeux" sont assurés d'avoir le prochain Prix Nobel...