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Un tunnel antique découvert dans la ville inca de CuzcoLe 9 mars 2003, l’Agence EFE fait état de la découverte d’un tunnel mesurant 2 km de long, liant le temple de Koricancha avec la forteresse de Sacsahuaman, située sur les périphéries de la ville péruvienne de Cuzco, par l’archéologue Anselm Rambla, dans la capitale antique. Le tunnel peut faire partie d’une série de galeries, de chambres, de fontaines et de mausolées antiques qui sont probablement sous la ville de Cuzco, selon des mesures faites en tant qu’éléments du projet de Viracocha lancé en août 2000.
Selon des images de radar obtenues le tunnel lie directement au temple du soleil ou du Koricancha, avec le couvent de Santa Catalina ou Marcahuasi, avec la cathédrale ou le temple de l’Inca Viracocha, avec le palais de Huascar, avec le temple de Manco Capac ou Colcampata et avec le Huamanmarca.
Tous ces bâtiments sont en alignement astronimique parfait, qui confirme que les Péruviens antiques ont également basé leurs constructions sur le soleil, la lune et les constellations. L’accès à un tunnel à la forteresse de Sacsahuaman était déjà connu, mais il a été condamné en 1923 pour éviter les disparitions de curieux qui auraient pu entrer.
L’archéologue a expliqué que ceci impliquerait une citadelle pré-inca, appartenant à une culture qui n’est pas encore connue. D’après les calculs, cette citadelle se situerait environ à 100 mètres sous Cuzco.
En mai, le travail d’excavation a confirmé l’endroit des galeries souterraines, confirmant du même coup les histoires des chroniqueurs comme Garcilaso de la Vega et Cieza de Leon concernant une citadelle souterraine dans Cuzco.
BRESILLe mystérieux royaume souterrain qui, selon l'écrivain Ossendowski, s'étend sous la chaîne de l'Himalaya, non loin de Chigatzé, se situerait maintenant en Amérique du Sud si l'on en croit les traditions.
C'est peut-être cet Agartha américain qu'un pilote vénézuélien, Harry Gibson, a vu durant un vol de routine, en 1964, au fond de deux cratères de la jungle, quelque part entre la sierra Maigualida et le fleuve Orénoque. Ces cratères sont situés non loin des sources des Rio Caura et Ventuari, c'est-à-dire près du Cerro Pava (1641 mètres) et du pic Masiati (1495 mètres), à l'entrée de la sierra Pacaraima, qui constitue une pointe avancée du sertao Brésilien.
En janvier 1974, une première équipe de trois membres descendit dans un des cratères, profond de 300 mètres pour un diamètre de 400 mètres environ.
Ils récoltèrent un abondant matériel en plantes et animaux vivants d'espèces inconnues ou éteintes depuis l'ère secondaire.
Un souterrain long de 1500 mètres relie les deux cratères et, selon des rumeurs à vrai dire non contrôlées, servirait encore actuellement car on y aurait relevé des traces de passage récent.
Cela a donné naissance à des enquêtes privées auprès des autochtones des montagnes environnantes dont les noms indigènes sont Jaua-Jidi et Sari Inama-Jidi. On apprit alors les fantastiques légendes qui s'attachent au mystère des deux cratères.
La région de Jaua-Jidi est une forêt de grande densité, quasi impénétrable et à peu près inhabitée.
Il a été très difficile aux enquêteurs vénézuéliens d'entrer en relation avec les hommes vivants à l'état sauvage de cette zone qui est en fait le prolongement de la forêt brésilienne.
Ils fuient les blancs, parlent une langue inconnue et ne comprennent pas l'espagnol.
Toutefois, des métis de la cité d'Esmeralda, sur l'Orénoque, ont pu les approcher et c'est d'eux que l'on tient les renseignements qui furent colportés dans tout le Venezuela.
« Plusieurs fois, des hommes étranges et étrangement habillés ont été vus dans la forêt de Jaua-Jidi. Ils ne semblent pas vouloir approcher les Indiens et ne s'aventurent qu'à petite distance des cratères. Leur peau est couleur d'ivoire jauni ; ils ont de grands yeux comme ceux des jaguars et des cheveux longs de différentes couleurs.
Ils paraissent craintifs et fuient dès qu'ils entendent un bruit insolite. On pense qu'ils habitent un pays qui s'étend au fond des cratères et dans d'immenses salles souterraines. Des entrées secrètes et inconnues souvrent sur la forêt ». - Source :
Les gardiens du savoir