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MessagePosté: Dim Février 29, 2004 19:41 
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Inscription: Mer Avril 30, 2003 10:30
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Encore des infos, pour des explosions atomiques antiques.

Citation:
(...)En plus de l’idée de cataclysmes qui pourraient avoir détruit à plusieurs reprises des civilisations anciennes, il y a encore autre chose à prendre en considération, qui a un rapport particulier avec la décomposition spontanée radioactive: que d’anciennes civilisations pourraient avoir été détruites par des guerres nucléaires.

Selon les scientifiques Richard Firestone du Lawrence Berkeley Laboratory et William Topping, la datation au Radiocarbone montre que des restes du Pléistocène en provenance du nord-est de l’Amérique, seraient de plus de 10.000 ans plus jeunes que ceux en provenance de l’ouest de l’Amérique. La datation par d’autres méthodes, comme par exemple la thermoluminescence (TL), la géo-archéologie, ou la sédimentation suggère que de nombreuses dates obtenues par le radiocarbone sont grossièrement erronées. Par exemple, pour des matériaux provenant du site paléo-indien de Gainey Paleoindian dans le Michigan, le radiocarbone donne une date de 2.880 avant J.C., et la TL donne une date de 12.400 avant J.C. Il semble que de telles anomalies soient nombreuses vers le nord des Etats-Unis et au Canada, et elles ne peuvent être expliquées par d’anciennes aberrations dans l’atmosphère, d’autres réceptacles de radiocarbone, ni par une contamination des échantillons (source habituelle d’erreur dans la datation au radiocarbone). En supposant l’utilisation de méthodes correctes de datation au radiocarbone, des restes organiques associés avec un produit manufacturé ne donneront un âge radiocarbonique plus jeune que ces restes ne le sont en réalité que s’ils contiennent une base de radiocarbone élevée artificiellement.

Nos recherches indiquent que toute la région des Grands Lacs (et au-delà) a subi des bombardements par des particules et une irradiation nucléaire catastrophique qui a produit des neutrons thermiques secondaires en provenance d’interactions de rayons cosmiques. Les neutrons ont produit des quantités anormalement élevées de Pu239 et ont ainsi substantiellement altéré les quantités d’uranium naturel dans les produits manufacturés et dans d’autres matériaux exposés, y compris les chailles [8] , les sédiments, et le paysage tout entier. Ces neutrons ont nécessairement transmué en radiocarbone l’azote résiduel se trouvant dans les charbons datés, ce qui explique les anomalies de dates. […]

Le niveau de C14 dans le fossile étudié se serait alors élevé. L’excès global de radiocarbone se serait ensuite décomposé, avec une demi-vie de 5.730 ans, ce que l’on devrait pouvoir observer dans l’analyse du radiocarbone de divers systèmes.[…]

De brusques augmentations de C14 sont observées dans des éléments marins en 4.000, 32.000-34.000, et 12.500 ans avant J.C. Ces augmentations coïncident avec des excursions géomagnétiques. […]

L’énorme énergie dégagée par la catastrophe de 12.500 avant J.C. pourrait avoir chauffé l’atmosphère jusqu’à plus de 1.000° C dans la région du Michigan, et le flux de neutrons dans des endroits situés plus au nord aurait pu faire fondre une quantité considérable de glace. Les effets des radiations sur les plantes et les animaux exposés aux rayons cosmiques auraient été mortels, comparables à une irradiation dans un réacteur de 5 mégaWatts pendant plus de 100 secondes.

Le schéma général de la catastrophe suit celui des extinctions en masse d’avant les temps de l’ Holocène. L’hémisphère occidental doit avoir été plus affecté que l’hémisphère oriental, l’Amérique du Nord doit avoir été plus affectée que l’Amérique du Sud, et le nord-est de l’Amérique doit avoir été plus affecté que le nord-ouest. L’extinction dans la région des Grands Lacs a été plus rapide et radicale que partout ailleurs. Les grands animaux ont été plus atteints que les plus petits, un schéma qui est conforme au fait que l’exposition aux radiations affecte davantage les grands corps que les petits. [9]

Les preuves découvertes par Firestone et Topping sont surprenantes à plus d’un égard. Mais le fait est que l’on a trouvé ce qui semble être des preuves de cela dans des régions aussi distantes les unes des autres que l’Inde, l’Irlande, l’Ecosse, la France, et la Turquie: d’anciennes cités dont la brique et les murs de pierre ont littéralement été vitrifiés, c’est-à-dire fondus comme du verre. Il y a également des éléments de preuve qu’il y a eu vitrification dans des forteresses et des cités bâties en pierre. Il semble que les seules explications à de telles anomalies soient ou bien une explosion atomique ou bien quelque chose qui a pu produire des effets similaires, et sur lequel nous reviendrons bientôt.

cassiopaea.org


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MessagePosté: Dim Février 29, 2004 20:53 
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Inscription: Dim Novembre 16, 2003 17:59
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Impressionnant...Mais ces civilisations sont toujours influencées par des croyances tout droit sorties de leur imagination.

Sinon,la radioactivités peut venir d'un phénomène géothermique inconnu, mais sûrement pas de chariot volant lançant des éclairs atomiques.

Enfin, moi je reste sceptique.

Par contre le terme "chariot de feu" est récurrent, on entend ça dans les anciens témoignages des OVNIs.


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MessagePosté: Lun Mars 01, 2004 01:47 
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Inscription: Ven Février 27, 2004 02:21
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Bien que je n’ai pas la science infuse pour comprendre en détail ce qui est écrit, je prendrai toujours plaisir a lire tous ce que tu dépêchera sur le sujet cher DRAGON. Tu nous tiens au courant, ok :wink:


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MessagePosté: Jeu Mars 04, 2004 17:04 
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Inscription: Ven Février 27, 2004 02:21
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Voila une explication qui pourrait expliquer les cités vitrifiées :

Citation:
C'est lors d'un voyage en Ecosse, au cours de l'été 1997, que nous avons entendu parler pour la première fois de forts vitrifiés. C'était au château d'Urqhart, au sud d'Inverness. Les monuments historiques fermant tôt, dans ce pays, nous ne pûmes voir que de loin cette impressionnante forteresse en ruine du XIIe siècle qui domine la rive occidentale du Loch Ness. Nous nous contentâmes juste de faire des photos au téléobjectif depuis le parking et de lire les panneaux retraçant l'historique du site. Sur l'un d'eux, la mention selon laquelle le château faisait partie de l'«ensemble des forteresses vitrifiées des Iles Britanniques » nous intrigua sans que nous puissions étudier de visu le phénomène de « vitrification ».

De retour en France, cette question nous préoccupa. Nous avions le vague souvenir d'avoir entendu parler de « forteresses vitrifiées » par le passé, sans pouvoir déterminer la source de cette information. Nous nous mîmes donc à tenter d'en apprendre plus sur le sujet mais nous dûmes rapidement nous rendre à l'évidence : il semblait être totalement ignoré des archéologues de notre pays alors que, de l'autre côté de la Manche, on fait référence aux forts vitrifés, presque comme s'il s'agissait d'une banalité.

En effet, au même titre que sur le panneau du château d'Urqhart, plusieurs ouvrages, achetés sur place, font assez souvent référence, sans cependant s'y étendre démesurément, à des « forteresses vitrifiés » [Vitrified hillforts]. C'est le cas, par exemple, de Scotland BC (« L'Ecosse avant J.-C »), dont un chapitre, consacré aux forteresses préhistoriques, aborde la question :

« Quand les premières fortifications écossaises furent-elles construites ? Il s'agit d'une question apparemment simple - mais pratiquement impossible à résoudre . Notre appréciation moderne de ce que l'on peut considérer comme des « défenses » peut ne pas recouvrir celle des peuples préhistoriques (...). Notre jugement repose sur la découverte de traces structurelles et d'armes. Sur cette base, la société préhistorique apparaît comme une société relativement pacifique au moins jusqu'au début du 1er. millénaire avant J.-C., à une exception près : un ouvrage massif entouré de palissades situé à Meldon Bridge, dans les Borders, mais cet ouvrage peut avoir été réalisé aussi bien dans un but de prestige que de défense. Cependant, vers la fin de l'âge du bronze, on trouve des preuves selon lesquelles la société amorça un changement et devint plus agressive. Les forgerons qui travaillaient le bronze commencèrent à produire en grande quantité des objets comme des épées et des boucliers dont la destination ne laissait aucun doute (...). Au même moment, on commença à construire les premiers forts de caractère défensif. Certains de ces forts furent construits en pierres liées (« laced ») avec des poutres pour les renforcer ; si un tel dispositif prenait feu, que ce soit accidentellement ou suite à une attaque ennemie, et si les conditions étaient réunies, la combustion des poutres provoquait la fusion des pierres qui, de ce fait se trouvaient amalgamées, avec pour conséquences la déformation du mur (on désigne ce phénomène sous le nom de « forts vitrifiés ») .

Le phénomène des forts vitrifiés est aussi presque systématiquement signalé dans une importante collection d'ouvrages dressant l'inventaire des monuments historiques de Grande-Bretagne (éditions PENGUIN). Voici, par exemple, ce qui en est dit dans l'introduction, dans le paragraphe consacré à l'âge du fer :

« Une renaissance économique semble avoir débuté vers 600 avant J.-C. avec le début de l'âge du fer, le travail du fer, particulièrement orienté vers la fabrication de charrues, ce qui permettait le développement de l'agriculture. La grande majorité des établissements de l'âge du fer visibles de nos jours étaient entourée de défenses. Les défenses atteignant les 375 m² sont appelées « dun ». Lorsque, bien que d'une technique comparable, elles couvrent une surface supérieure, on les appelle « forts ». Ces fortifications occupent généralement un promontoire, par exemple Brough of Stoll on Yell (Shetland), une hauteur, par ex. Craig Phadrig, Inverness, ou quelquefois un tertre, par ex. Dun-da-Lamh, près de Laggan (Badenoch and Strathspey), ou encore une île : Dun an t-Siamain, près de Carinish, sur l'île de North Uist (Western Iles). Leur dénominateur commun est d'avoir augmenté les défenses naturelles du site par la construction d'un rempart qui incorpore parfois un appareillage de poutres de bois, ce qui, si le feu est mis à l'ensemble, soit par accident ou volontairement par des attaquants, peut déterminer un incendie d'une telle intensité qu'il provoque une fusion des pierres qui se transforment alors en une masse vitrifiée, comme c'est la cas à Craig Phadrig ou à Dun Ladaigh, vers Ullapool (Ross and Cromarty) (...) » .

Mais, en France, même dans les milieux archéologiques, nous n'avons rencontré que très peu de personnes ayant entendu parler du phénomène de vitrification et encore moins à s'y être intéressés. Le premier ouvrage dans lequel nous avons trouvé une amorce de réflexion sur ce sujet est un livre destiné au grand public de Jean MARKALE, auteur d'un grand nombre d'ouvrages sur les Celtes :

« Un autre système est assez curieux : il remonte dans le temps, puisqu'on a commencé à l'employer à la fin de l'âge du bronze, c'est-à-dire aux environs de 800 avant notre ère. Il s'agit du procédé dit de vitrification. On a longtemps cru qu'il s'agissait d'un phénomène déclenché par l'incendie d'une forteresse au cours d'un combat, mais en fait, cette vitrification a été provoquée délibérément pour des raisons tactiques. Le noyau du rempart est constitué par une masse calcinée très dure et entièrement compacte, formée de pierres et de sable, ce qui donne au résultat un aspect très proche du verre épais et grossier. Cette calcination n'a pu se produire que sur place, après qu'on eut mélangé du bois aux matériaux entassés et qu'on y eut mis le feu. C'est une technique que les archéologues reconnaissent comme difficile à réaliser, mais qui a l'avantage incontestable d'assurer un rempart d'une solidité à toute épreuve, comme dans le fameux camp de Péran, non loin de Saint-Brieuc (Côtes d'Armor), qui reste un modèle du genre. »

Ayant eu l'occasion d'aller en Bretagne, au cours de l'été 1998, nous avons saisi l'occasion pour nous rendre à Péran. Le site, très facile d'accès, à la différence de beaucoup d'oppida que nous avons visités depuis, se trouve sur butte peu élevée, à quelques kilomètres du village de Plédran. A la sortie de l'agglomération, les panneaux routiers indiquent soit « camp romain » soit, encore plus curieusement « camp viking ». Sur le site même, des panneaux explicatifs, réalisés par le Centre archéologique de Péran (C.A.P.), font référence à une « destruction du camp par les Vikings ». On a en effet trouvé sur le site plusieurs objets attribués aux Vikings, « près du rempart ». Ces objets provenant de Grande Bretagne, en particulier des pièces de monnaies frappées à York vers le Xe. Siècle, on en a déduit, un peu hâtivement à notre avis, que le site, bien antérieur au Xe siècle puisque remontant à l'âge du fer, avait été détruit par les Vikings. Ce qui est plus étonnant, c'est qu'aucun de ces panneaux ne fait la moindre allusion au phénomène de vitrification, pourtant patent, comme on va le voir.

Le camp, de forme circulaire, se développe sur une circonférence d'environ 200 mètres. Une levée de terre est couronnée par les vestiges d'un mur dont les pierres sont littéralement fondues ensemble. Péran, pour reprendre les termes de Jean MARKALE, est effectivement un « modèle du genre ». De cela, nous pouvons en témoigner après avoir vu d'autres vestiges de forts vitrifiés beaucoup moins significatifs. Ici, le phénomène de vitrification saute aux yeux : on l'observe sur l'ensemble du rempart. Les pierres, d'origines géologiques diverses (mais toutes des roches dures : quartzites, dolérites, aplites ) sont fondues et collées entre elles (certaines ont même coulé, se transformant en un magma solidifié rappelant de la lave volcanique ) pour former une seule masse compacte.

Une partie du rempart a été reconstituée par les archéologues selon la technique du « murus gallicus ». Cette méthode, décrite par César dans la Guerre des Gaules, et attribuée par lui aux Gaulois (mais nous savons maintenant qu'elle remonte au moins à l'âge du fer), consistait à alterner poutres de bois et pierres.

M. Jean-Louis PAUTE, président du C.A.P., à qui nous nous étions adressé pour obtenir plus d'explications sur le site, nous a aimablement fait parvenir une brochure, éditée en 1991, qui retrace l'historique des recherches à Péran et leurs conclusions. Alors que, nous l'avons vu, aucune mention n'était faite de vitrification in situ, le texte de la brochure aborde largement le phénomène. Force est même de constater qu'il fut à l'origine de l'intérêt des archéologues du XIXe siècle pour cet oppidum, comme il le fut, d'ailleurs, nous l'avons constaté depuis, pour la plupart des oppida vitrifiés connus. Le site date, à l'origine, de l'âge du fer et son occupation a duré jusqu'à l'époque carolingienne. Selon les archéologues l'ayant étudié, l'oppidum aurait été détruit par les Vikings vers 905-925 après J.-C. Leur hypothèse, pour expliquer la vitrification du rempart, est classique : pour eux, il ne fait aucun doute que l'incendie du « murus gallicus », mis à feu lors du sac de l'oppidum, est le seul responsable du phénomène de vitrification . A l'appui de leur affirmation, les auteurs invoquent les datations obtenues par le Carbone 14 et l'archéomagnétisme. On sait toutefois depuis quelques années, particulièrement pour le C 14, que l'on ne peut plus avoir une confiance aussi absolue dans ses indications, en particulier dans le cas où de fortes températures ont été en jeu ; il est en effet désormais admis que de telles circonstances ont pour conséquence de rajeunir démesurément les datations obtenues .

Mais un autre constat nous fait prendre ces datations avec précautions : en effet, si la destruction de Péran remontait au Xe siècle, son cas serait unique car ce serait la vitrification la plus récente que l'on connaisse ! Quant à l'affirmation selon laquelle le phénomène qui a transformé le rempart de Péran en un magma vitreux serait imputable à la combustion du poutrage interne, on verra qu'il s'agit d'une allégation gratuite, sans doute bien pratique pour « expliquer » l'une des plus grandes énigmes de l'archéologie, mais qu'elle est totalement contredite par l'expérimentation.

L'un des rares ouvrages français qui aborde la question de la vitrification de remparts de l'âge du fer, « Villes, villages et campagnes de l'Europe celtique » , nous apprend que cette question a préoccupé, depuis plus d'un siècle, de nombreux archéologues. Certains, et non des moindres , ont même essayé de reproduire le phénomène à grand renfort de moyens techniques, mais la plupart on dû reconnaître leur échec :

« La toponymie, les légendes populaires, et encore aujourd'hui la littérature archéologique font une large place aux « enceintes vitrifiées » ou « calcinées ». Dans la masse des remparts de pierre écroulés, des « noyaux de chaux » ou des blocs fondus et soudés par la chaleur ont été découverts sur environ 150 sites. La plupart d'entre eux se trouvent en Ecosse et dans le Massif central . Ils ont excité la curiosité des chercheurs, et des hypothèses de toutes sortes ont été émises pour expliquer ce phénomène.
« Au début du XIXe siècle, leur origine a été attribuée aux feux qu'auraient allumés les guetteurs pour transmettre des nouvelles à la ronde. En effet les auteurs de cette époque sont très préoccupés des relations d'enceinte à enceinte, et chaque description du site s'accompagne de considérations sur la surveillance du territoire. Une hypothèse plus audacieuse attribue les vitrifications à la foudre, qui aurait ainsi eu une prédilection particulière pour les remparts préhistoriques. Enfin certains auteurs imaginent qu'il s'agit d'une technique mise au point pour augmenter la cohésion des matériaux du rempart. Même si la réalisation d'un tel projet dans des roches cristallines suppose une quantité de bois considérable, il est facile de concevoir l'intérêt du procédé qui permettrait d'avoir un rempart plus solide qu'un mur en béton. En revanche, les noyaux de chaux, que des auteurs comme Drioton croyaient avoir reconnus au cœur de talus érigés dans des régions calcaires, semblent d'un intérêt plus limité.
« En 1930, G. Childe parvient à fondre des blocs au cours d'une expérience sur une reconstruction, mais le choix des matériaux utilisés a été critiqué. Youngblood montre en 1978 que la combustion de l'armature de bois d'un rempart à poutrage interne ne peut pas provoquer de vitrification si un feu n'a pas été délibérément provoqué et entretenu dans ce but. I. Ralson reprend l'expérience en 1981 avec un rempart long de 9 m, large de 4 et haut de 2,40 m. Il le garnit intérieurement de poutres horizontales entrecroisées, dont les têtes dépassent en façade. Plusieurs camions de bois ont été déversés devant le parement et enflammés. La température au cœur du rempart ne s'est élevée que très lentement. Elle s'est effondrée chaque fois que le vent, au lieu de rabattre les flammes vers le rempart, les éparpillait dans les autres directions. Dans les restes du rempart disloqué par la chaleur, quelques fragments vitrifiés ont pu être recueillis. Il est donc bien clair qu'il faut un feu intense, bien entretenu dans des conditions météorologiques favorables, pour obtenir une vitrification (...).
« Dans tous les cas qui ont pu être étudiés jusqu'à maintenant, l'action du feu ne laisse jamais de traces régulières, systématiques, qui pourraient seules être interprétées comme la preuve de l'emploi d'une technique de construction basée sur la combustion de la roche . Il s'agit toujours d'observations localisées ou de traces irrégulières, jamais d'un parement vraiment soudé par le feu. De plus I. Ralston a montré que la carte des enceintes vitrifiées ou calcinées correspondait assez exactement à la répartition des enceintes à poutrage interne, de la protohistoire jusqu'au Moyen Age .
« S'agit-il alors des traces de l'attaque des habitats fortifiés ? La technique de siège la plus répandue avant l'intervention romaine consiste en effet à cribler de projectiles le sommet des remparts pour en déloger les défenseurs, puis à mettre le feu aux portes avant de se ruer à l'intérieur. Il est peu vraisemblable que, en pleine action, les assaillants aient eu le loisir d'entretenir un feu suffisamment intense pour obtenir des vitrifications qui réclament, l'expérience l'a montré, beaucoup de combustible et un vent favorable. Certaines enceintes écossaises sont d'ailleurs vitrifiées sur tout leur pourtour . Nous imaginons volontiers que la vitrification est le produit d'une destruction systématique des fortifications de l'adversaire après la prise et souvent le pillage de la place, pour bien marquer le caractère irrémédiable de la défaite. »

On regrettera que cette intéressante analyse, l'une des plus développées que nous ayons pour l'instant trouvées sur le sujet, ne fasse référence à aucun site précis , si ce n'est pour leur dénier la qualification d'enceintes «vitrifiés » (i.e. le camp de Myard et du Châtelet d'Etaules, fouillés par J.-P. Nicolardot , en Bourgogne ), ni ne renvoie, dans la bibliographie citée, à aucune étude de référence sur la question...

En conclusion, il semblerait que toutes les tentatives qui ont à ce jour été faites pour tenter de reproduire le phénomène de vitrification se soient soldées par un échec. La raison en serait que la température obtenue, si elle a permis de rubéfier les pierres, n'a cependant jamais été suffisante pour les vitrifier, sauf sur de toutes petites surfaces.

D'après les géologues consultés , la vitrification de matériaux comme le granite ne peut se produire en dessous de à 1000°. Une telle montée en température ne semble pas pouvoir être atteinte à l'air libre mais seulement à l'intérieur d'un four. Comment imaginer qu'on ait construit un four tout autour d'une enceinte de pierres de plusieurs centaines de mètres (Péran fait partie des « petits » oppida mais il en existe de beaucoup plus étendus…). Cela exclut de facto l'incendie accidentel.

Penchons-nous un instant sur l'hypothèse, défendue par certains , selon laquelle la vitrification aurait été obtenue volontairement pour solidifier l'ensemble. Voire… Nous avons nous-même constaté que, si certaines parties de remparts étaient en effet rendues plus résistantes par la vitrification, d'autres, au contraire, avaient été fragilisées, en particulier lorsque, dans le magma, on trouve des noyaux de chaux, résultante de la combustion du calcaire… Le mur, au lieu d'être renforcé, s'effondre alors.

Une autre hypothèse, que nous n'avons trouvé évoquée par quiconque, serait l'utilisation d'un produit chimique dont on aurait enduit les pierres et qui, mis à feu, aurait dégagé une chaleur supérieure à 1000°. Reste à savoir quel produit aurait pu être utilisé ? Reste aussi à comprendre la raison qui aurait poussé nos ancêtres de l'âge du fer à vitrifier (volontairement) leurs oppida ou ceux de leurs ennemis.

Voici pour les faits. Aucune explication rationnelle ne pouvant à ce jour être obtenue par l'archéologie, nous rappelant que les oppida vitrifiés se trouvaient, de par leur ancienneté et leur situation, liés à l'aire celtique, et nous souvenant de l'intéressante réflexion initiée par Jean MARKALE à propos de Péran, nous avons décidé d'aller voir d'un peu plus près du côté de la mythologie celtique si elle pouvait nous apporter des pistes inédites.

« Il faut d'ailleurs voir dans ce procédé de vitrification l'origine des traditions concernant l'Urbs Vitrea, Care Gwtrin et autres lieux du genre Royaume de Gorre, c'est-à-dire des « Cités de Verre » qui se rencontrent si souvent dans les romans arthuriens et d'une façon générale dans toutes les traditions mythologiques irlandaises ou bretonnes. Les « Villes Blanches » de la tradition orale, qui désignent toutes d'anciennes forteresses ruinées, sont un souvenir évident de cette technique, par ailleurs parfaitement oubliée. »

Si Jean MARKALE a raison, si toutes les « cités de verre », « châteaux de verre » (et leurs variantes) des légendes celtiques signalent d'anciens « forts vitrifiés », les voies de recherche sont immenses !

Nous commencerons par le site le plus occidental de l'aire celte où l'on ait signalé des vestiges de vitrifications : l'Ile de Tory, située au large de la côte ouest de l'Irlande. Cette île doit son nom à une tour, l'une de ces nombreuses round towers (« tours rondes ») qui se dressent encore par centaines sur l'Ile Verte (ainsi qu'en moindre quantité en Ecosse) et dont on n'a jamais réussi à ce jour à savoir quel en avait pu être l'usage véritable. Généralement, on les date des tout débuts de l'ère chrétienne et on les relie à l'existence des premiers monastères ; on suppose qu'elles ont pu servir de tours de guet ou qu'elles servaient à entreposer le trésor des monastères menacés par les raids des Vikings. Comment, alors, on-t-elle résisté alors que les monastères qui les entouraient ont été détruits ? L'extraordinaire qualité de leur architecture, faite de pierres magnifiquement appareillées, explique sans doute en partie le mystère. Le fait est qu'une de ces tours a tellement marqué l'histoire de cette petite île que l'île elle-même a pris le nom de la tour (Tor-Inis signifie « Ile de la Tour »). Voici ce que nous avons pu lire à son sujet :

« La tour de l'île de Toriniz, aujourd'hui île Tory (…), d'âge si vénérable, n'existe plus en tant que bâtiment. Toutefois, elle perdure encore, ou du moins perdurait au siècle dernier, en tant que ruines. Le grand étonnement des archéologues fut de constater que ces vestiges étaient vitrifiés. Quelle peut être la raison de cette vitrification ? » .

Or, c'est précisément sur cette île que, selon la tradition mythologique irlandaise, les Fomoire (ou Fomore), avaient installé leur camp de base et c'est de là qu'ils lançaient leurs expéditions militaires sur l'Irlande. Ce peuple mythique était composé de géants maléfiques, à la fois alliés, par des liens familiaux complexes, et néanmoins ennemis, des Tuatha de Danaann (les « enfants de la déesse Dana ou Ana »). Aucun de ces deux peuples n'était autochtone ; ils venaient tous les deux des « Iles du Nord du Monde », endroit mythique situé dans l'extrême nord dont on ne sait pratiquement rien. Les uns et les autres étaient dotés de puissants pouvoirs, réputés magiques pour nos ancêtres mais que nos connaissances techniques actuelles nous rendent familiers. L'un des chefs des Fomores, le géant Balor, par ailleurs grand-père du « dieu » Lug, un des Tuatha de Danaann, vivait sur Toriniz. De là, il envoyait un puissant flux d'énergie de l'autre côté du bras de mer qui le séparait de la terre d'Irlande pour foudroyer ses ennemis. Les descriptions que l'on a de Balor évoquent plus une machine qu'un être vivant : on le compare à un cyclope dont l'œil unique émettait un rayon qui réduisait en cendres ses ennemis : « C'est un géant effrayant dont l'unique œil foudroie toute une armée lorsqu'il soulève les sept paupières qui le protègent ». Cet « œil » extraordinaire devait être maintenu ouvert grâce à des crochets métalliques soulevés par plusieurs aides. Lors de l'une des trois batailles de Mag Tured qui se déroulèrent en Irlande entre les Fomore et les Tuatha de Danaann, le dieu Lug réussit à neutraliser l'œil maléfique de Balor en utilisant sa lance personnelle, que les textes appellent « lance d'Assal », l'un des quatre objets magiques rapportés des Iles du Nord du Monde . Cet objet avait lui aussi des propriétés étranges : il ne manquait jamais son but et devait être refroidi dans un chaudron rempli de sang humain .

Jean MARKALE, dans Les Celtes et la civilisation celtique, donne plus de détails sur cet instrument fabuleux :

« Lug est le possesseur d'une lance magique qui fait penser aux flèches à la fois meurtrières et guérisseuses d'Apollon. Elle s'appelle Gai Bolga . C'est l'emblème de l'éclair. Elle provient d'Assal, une des îles du nord du monde (allusion à l'Hyperborée) d'où étaient originaires les Tuatha Dé Danann. Cette lance avait un pouvoir venimeux et destructeur et, pour atténuer ce pouvoir, il fallait plonger la pointe dans un chaudron rempli de poison et de « fluide noir », c'est-à-dire de sang » . Après avoir été lancée, en utilisant un cri particulier (« ibar », qui signifie « if »), et touché son but qu'elle ne ratait jamais (« sa valeur est telle qu'elle ne frappe pas par erreur ») elle revenait d'elle même dans la main du dieu grâce à un autre cri, « athibar » : « elle revient en arrière jusqu'à la main qui l'a lancée » .

Qu'était donc cet objet ? Quelles techniques étaient-elles utilisées par Balor et par Lug pour se faire la guerre ? N'est-il pas étrange que la Tour de Toriniz, l'endroit précis où résidait le géant Balor, ait été vitrifiée ?

Depuis la première version de ce mémo (10/12/9, nous avons eu connaissance des travaux de RALSTON sur les oppida du Limousin et, pendant l'été 1999, nous sommes allés dans la Creuse pour tenter de voir quelques uns des sites cités dans cet ouvrage comme portant des traces de vitrifications. Nous avons dû constater que le travail de RALSTON, qui est l'un des inventaires les plus complets qui soient sur les forteresses de l'âge du fer en France, fait une large place au phénomène de vitrification. Malheureusement, sur place, l'accès aux sites est souvent rendu difficile par une végétation débridée et un manque d'entretien flagrant. Nous dûmes ainsi renoncer à nous rendre sur certains oppida que nous avions envisagé de voir en raison d'indications trop imprécises (ce fut le cas pour nous aux Muraux, commune de St. Georges de Nigremont). D'autres oppida, où l'on avait par le passé signalé des vitrifications, ont été détruits par une urbanisation sauvage et le manque de contrôle des instances dont ce devrait être le rôle: c'est déjà le cas de celui de Thauron qui ne bénéficie d'aucune mesure de protection. Lors de notre visite, nous avons même vu un brave homme démolir allègrement un mur de pierres qui se trouvait sur sa propriété et qui, d'après nos indications, était vraisemblablement l'un des seuls vestiges de l'oppidum… Les autres sites visités, pour n'être pas urbanisés, n'en sont pas pour autant mieux protégés. C'est le cas du fameux Puy de Gaudy, au-dessus du village de Ste. Feyre, au sud de Guéret, qui est le lieu de rendez-vous de promenade favori des pensionnaires de la maison de retraite de la MAIF située juste au-dessous et surtout des « VTTistes » qui franchissent sans sourciller les murailles de l'oppidum. Dans ce département, pourtant fort riche en vestiges archéologiques et historiques, rien ne semble fait par les autorités pour protéger les sites dont elles ont la responsabilité (sur aucun des oppida visités nous n'avons vu la moindre mention « site archéologique » ni la moindre interdiction !). Au cours de ces visites, par ailleurs assez décevantes pour les raisons que nous avons indiquées, nous n'avons relevé que peu de vitrifications indiscutables. Ce fut le cas sur l'un des sites, qui n'était pourtant pas réputé comme le plus représentatif : l'oppidum de Châteauvieux à Pionnat qui fait face au Puy de Gaudy. Elles sont pourtant tout-à-fait remarquables et indiscutables, mais le site, outre le fait qu'il n'est pas indiqué, est situé dans un bois à la végétation inextricab le. Nous avons pu cependant constater le même phénomène qu'à Péran : les pierres étaient littéralement « cimentées » entre elles par leur surface, certaines avaient fondu et s'étaient transformées en véritable « lave ». Sur place, la théorie lue ou entendue à propos de plusieurs sites, selon laquelle ces pierres vitrifiées étaient du machefer résultant d'un processus de fonte de métaux dans des haut-fourneaux répartis le long du rempart ne tient pas. En effet, à Pionnat, nous avons compris comment l'on pouvait confondre certains éboulements du rempart, qui forment une sorte de voûte cimentée par la vitrification des pierres, avec le cul-de-four d'un haut-fourneau. Cette confusion, excusable pour des non-spécialistes cherchant à tout prix une explication satisfaisant le bon-sens, ne l'est plus lorsqu'on la lit sous la plume d'archéologues officiels. Il suffit pour cela d'observer le rempart dans sa continuité pour s'apercevoir que ce que l'on a pris un peu vite pour des vestiges de hauts-fourneaux ne possède aucune des structures nécessaires au fonctionnement d'un tel dispositif (prise d'air, etc.). Il s'agit bien, purement et simplement, d'une « bulle de lave » comme on en observe dans les formations volcaniques naturelles, sauf que, dans le cas qui nous occupe, nous avons affaire à une construction qui a été artificiellement vitrifiée et non à un phénomène naturel



http://www.brigantesnation.com/Vitrifie ... France.htm


Donc au final on a:Une radioactivité anormale liée à des phenomènes purement géologiques sans aucune action anthropique .

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MessagePosté: Mar Décembre 06, 2005 01:20 
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Pourrait-on émettre la théorie suivante : les OVNIS, sont en fait nos ancêtres rescapés de ces civilisations ? S’ils étaient capables de voyager dans l'espace, il est fort probable que certains aient réussi à survivre à l'apocalypse. Je ne connais aucune guerre dont tous les protagonistes disparaissent, même si je l'avoue, nous n'avons pas encore vécu de guerres nucléaires. Je suis pas trop pressé en même temps, et vous ?

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MessagePosté: Mar Décembre 06, 2005 10:55 
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D'abord je te remercie de déterrer les vieux fils. Vu qu'on n'a toujours pas les explications correctes, tout reste valable.
A part ça je vois pas pourquoi des gens retourneraient dans le passé pour balancer des bombes atomiques !
D'abord c'est dangereux, tu changes le cours des choses et tu n'es même plus sûr d'exister ensuite, ni ta civillisation.
Ensuite tu t'attaques à quoi et pourquoi ?


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MessagePosté: Mar Décembre 06, 2005 16:27 
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Inscription: Sam Novembre 26, 2005 15:37
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Je pense m'être mal fait comprendre.
Je voulais dire que les OVNIS que l'on voit de nos jours sont peut-être des descendants de cette époque.
Je ferais des efforts pour me faire comprendre à l'avenir. :wink:

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MessagePosté: Mar Décembre 06, 2005 16:38 
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Wormwood a écrit:
D'abord c'est dangereux, tu changes le cours des choses et tu n'es même plus sûr d'exister ensuite, ni ta civillisation
La théorie veut qu'on ne puisse pas modifier le passé.

Si on voyageait dans le temps pour balancer une bombe atomique quelque part, cela ferait déjà partie de notre histoire. On ne ferait qu'accomplir quelque chose de déjà fait.

Quand aux paradoxes temporels (genre je tue mon ancêtre avant qu'il n'ait d'enfants), ils seraient impossibles, d'après un Science et Vie d'il y a quelques années. On ne reviendrait pas dans son passé, mais dans un monde alternatif pour tuer l'ancêtre de quelqu'un d'autre, son double dans ce monde bis.

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La vitesse de la lumière étant supérieure à celle du son, certains brillent en société... jusqu'à ce qu'ils l'ouvrent.


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MessagePosté: Mar Décembre 06, 2005 16:50 
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OK JahSpirit on t'avait compris à l'envers !


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MessagePosté: Mar Décembre 06, 2005 21:07 
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Le fait est surtout de savoir, s'il y a, disons 12 à 15.000 ans, voire plus, des civilisations détenaient une technologie comparable et même supérieure à la nôtre dans certains domaines. Certains textes sacrés des Indes le laissent penser, suite à des récits détaillés de conflits exprimant des détails qui ne laisse planer aucun doute quant aux armes utilisées, comme la bombe atomique, des engins volants sophistiqués, des rayons de type laser, etc. .

Technologie acquise, héritée ou empruntée ? Certains disent que ces textes sont des histoires inventées par leurs auteurs, comment décrire précisément une explosion nucléaire et les effets qui en découlent avec exactitude, si on ne sait pas ce qu'est une bombe atomique. Comment expliquer le fait qu'ils relatent des voyages vers la Lune ou intersidéraux par des engins habités, dont ils donnent des explications. Comment parler d'aéronefs qui se déplacent d'un Continent à un autre à haute altitude, quand on a jamais vu un tel engin. Il faut se mettre dans le contexte de l'époque.


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MessagePosté: Mar Décembre 06, 2005 22:28 
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C'est effectivement très interressant ce que tu viens d'écrire Dragon..

Alors on met notre masque du 20ieme et tentons d'expliquer! comment on fonctionne? On veut des preuves!! On a de vieux écrits.. Mais quoi, ce n'est pas une preuve, ce n'était peut-être que de l'imagination, surtout pas de preuve!!

Parfois notre raisonnement est complètement idiot! Parce qu'un peuple très ancien pouvait être plus évolué dans certains domaines que nous, bien on tire à gros boulet sur ces écrits et témoignage du passé parce que cela ne fait pas notre affaire!

Et moi je dis que justement, on doit avoir l'esprit très ouvert et ne pas attendre toujours la preuve physique, touchable! Qu'est-ce qui traverse la ligne du temps des milliers d'années, ce sont les roches qui résiste très bien au temps! Si un engin volait il y a 15 000 ans, qu'est-ce qu'il en resterait aujourd'hui? À moins qu'il était fait de roche, il n'en restera rien.. Prenons toutes nos structures actuels et notre technologie actuels, reportons-nous dans 15 000 ans.. Que restera-t-il? Aucun débrits d'auto, d'avions de fusée.. Que restera-t-il? Des pilliers d'acier, non.. Il resterait fort probablement des tonnes de bétons plus ou moins en structure qui témoignerait de belle cité qui fut jadis à l'époque bien évolué socialement.. Mais qui ne témoignerait que de peu de chose technologiquement parlant..


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MessagePosté: Mar Décembre 06, 2005 22:53 
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Surtout si tu imagines des catastrophes gigantesques du style asteroides, déplacement de continents entiers, tsunamis de km de haut et enfin ouverture le la Terre d'où surgissent un nombre incroyable de volcans.
C'est ce qu'on pense qui est arrivé et c'est ce qui pourrait arriver de nouveau. Dans ce cas les traces de la civillisation sont enterrées bien profond et les quelques hommes qui auront survécu seront hébétés, perdus, malades , rechercheront simplement un abri contre le froid et de la nourriture et ne pourront jamais reconstruire une civillisation.
On les retrouverait en train de faire des dessins sur des murs, et dans 10000 ans on trouverait les dessins sans rien comprendre.
On avait eu débat par ici pour savoir où était Mû et l'Atlantide. L'Atlantide et Mû en fait auraient pu être n'importe où, presque l'ensemble de la planète a été bouleversée. Rien que les glaciations , bien connues et admises ont bouleversé totalement la planète.
Si on savait par exemple que la planète n'arrête pas d'être bouleversée quoi construire ? Quelque-chose de solide, reconnaissable facilement par les hommes du futur pour l'intelligence qu'on y a mise. Des formes particulières et peut-être plus. ( C'est l'autre sujet je sais ).
J'avais déjà parlé du sable vitrifié du désert de Lybie.
On m'a dit que c'était une comète qui aurait explosé en vol. Seul problème, ce n'est ni vrai ni possible.
Un site sur des recherches dans ce désert :
http://jm.saliege.com/monod4.htm
Et sur les bizarreries qui accompagnent ces verres :
http://www.objetvolant.com/html/modules ... le&sid=245


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MessagePosté: Mar Décembre 06, 2005 23:03 
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Je pense qu'on a pas finit d'en apprendre sur nos ancêtres. Je viens d'apprendre sur un autre poste qu'on vient de découvrir des empreintes d'homme vieilles d'environs 40000 ans au Mexique. Or, le plus ancien fossile connu est daté de 15000 ans.
Chaque année, on fait des découvertes étranges et qui laissent perplexes les paléontologues (Homme de Flores, ...).

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MessagePosté: Mar Décembre 06, 2005 23:13 
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Et chaque année tout ça est enterré et oublié et on n'en parle plus ou alors on dit que c'était une erreur, on y construit une route et c'est fini.
Il y a un nombre assez grand maintenant d'objets dits "anachroniques" mais on n'en tient pas compte !
Avec les pyramides et d'autres monuments comm Baalbeck par exemple c'est la méthode de construction qui est anachronique pour ne pas dire impossible, mais ça n'effraie personne.


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MessagePosté: Mer Décembre 07, 2005 03:40 
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En ce qui concerne les textes anciens, ne pas oublier que les légendes sont des légendes... A considérer avec précautions, donc !
Certains romans de notre ère décrivent aussi ce type de voyages ou de technologies, ça ne veut pas dire qu'à leur époque elles existaient !

Restons ouverts, donc, mais prudents, aussi ! :wink:


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MessagePosté: Mer Décembre 07, 2005 18:35 
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Les légendes sont des légendes, oui, mais parfois et même que la plupart du temps c'est basé sur certains faits très véridique! Le déluge mentionné dans la bible est une belle légende, très romancé avec Noé, alors que l'on sait bien que le déluge a bien eu lieu! Tous les peuples aux 4 coins de la terre ont leurs légendes à propos d'un déluge! C'est une légende oui, mais su des bases fondés! Parcontre il est très difficile d'allé sortir le romancé du véridique..

Il ne faut surtout pas croire tout ce que l'on voit, mais il ne faut surtout pas tout rejeté du revers de la main..

Et comme le dit chevalierdelombre, restons ouverts et prudents!


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MessagePosté: Sam Décembre 10, 2005 15:52 
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Juste deux petites remarques au sujet de cette citée irradiée.
Le site se situe apparemment dans le désert de Thar, comme l'a précisé Dragon, or c'est justement dans les sous-sols du désert de Thar qu'on eu lieu des essais nucléaires indiens dans les années 70.

Citation:
"Un seul projectile chargé de toute la puissance de l'Univers...Une colonne incandescente de fumée et de flammes aussi lumineuse que 10000 soleils et sélevant dans toute sa splendeur...C'était une arme inconnue, un éclair de fer, un message gigantesque de mort qui réduisit en cendres une race entière".

"Les corps étaient si brulés qu'ils étaient méconnaissables. Leurs cheveux et leurs ongles tombaient, sans cause apparente, et les oiseaux devenaient blancs".

"Après quelques heures, tous les aliments furent infectés. Pour échapper à ce feu, les soldats se jetèrent dans la rivière".


Je pense tout simplement que ce passage est un hoax.
J'avais télécharger plusieurs traductions anglaises du mahabharata en peer to peer (je n'ai gardé que la traduction de Ganguli), et je n'ai jamais pu retrouver cette citation.

En fait, elle ne vient pas d'un texte védique, mais d'un livre de...Charles Berlitz. :lol:
Tant mieux pour ceux qui accorde foi à ses écrits, c'est pas du tout mon cas.

EDIT: il y a même une traduction anglaise du Mahabhrata en ligne:
http://www.sacred-texts.com/hin/maha/index.htm

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Dernière édition par jericho le Sam Décembre 10, 2005 16:03, édité 1 fois.

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MessagePosté: Sam Décembre 10, 2005 15:57 
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Messages: 2643
Localisation: Somewhere in the 21st century...
jericho, décidément tu nous es bien utile ! :wink:


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MessagePosté: Lun Décembre 12, 2005 05:31 
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Inscription: Ven Novembre 07, 2003 11:14
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Citation:
"Après quelques heures, tous les aliments furent infectés. Pour échapper à ce feu, les soldats se jetèrent dans la rivière"


Je ne suis pas du tout sur qu'il s'agit là dans hoax, en tous cas pas un directement issu d'internet. Ce passage me fait penser à une de mes lectures d'un livre ésotérique des années 60-70. Je fouille ma bibliothèque pour voir si j'arrive à mettre la main dessus.

De mémoire il s'agit de la traduction de livres anciens hindoux parlant de la guerre que se sont livrées 2 grandes puissances d'alors. Certains on avancé qu'ils pourraient s'agir du conflit qui aurait opposé l'Atlantide à l'empire de Mu. Le récit revient avec force détails sur des viminhas ou chariot tonnerre lanceur d'éclair que les descriptions apparente à des "soucoupes volantes" armées et sur l'emplois d'arme hautement énergétique qui s'apparente à nos bombes atomiques.

Le passage qui suit la plongée dans l'eau des soldats parle de leurs efforts de nettoyage d'eux mêmes biensur mais aussi de leur armes et équipements (tentative de décontamination ?).

Bref, je cherche et je vous tiens au courant si je retrouve qqch.


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MessagePosté: Lun Décembre 12, 2005 05:39 
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Inscription: Ven Novembre 07, 2003 11:14
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Citation:
Avec les pyramides et d'autres monuments comm Baalbeck par exemple c'est la méthode de construction qui est anachronique pour ne pas dire impossible, mais ça n'effraie personne.


Pour information, le poid de chaque dalle à Baalbeck placée et ajustée a été évalué à 250 tonnes ... .

Citation:
Le site se situe apparemment dans le désert de Thar, comme l'a précisé Dragon, or c'est justement dans les sous-sols du désert de Thar qu'on eu lieu des essais nucléaires indiens dans les années 70.


Un désert c'est grand et il faudrais encore être sur que l'Inde à bien procédé à des essais en surface et quand bien même ces essais n'ont pas pu se dérouler aussi sur le territoire écossais ... . Je précise aussi qu'a ma connaissance je n'ai pas le souvenir que les birtanniques aient mené des essais d'explosions nucléaires en écosse et encore moins au dessus de vestiges historiques.


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MessagePosté: Lun Décembre 12, 2005 07:14 
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Localisation: Somewhere in the 21st century...
Ou à des essais souterrains ratés... Une fuite radioactive est possible si on a mal "calculé son coup".


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MessagePosté: Lun Décembre 12, 2005 07:58 
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C'est encourageant pour les essais de Mururoha.

:?

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MessagePosté: Lun Décembre 12, 2005 10:29 
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Inscription: Mer Août 06, 2003 19:00
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Citation:
Kisari Mohan Ganguli, historien, dit que les textes sacrés indiens sont remplis de telles descriptions qui ressemblent à une explosion atomique comme elle fut testée à Hiroshima et Nagasaki. Il dit que les références mentionnent des chariots volants dans le ciel et des armes finales. Une ancienne bataille est décrite dans le Dona parva, une section du Mahabharata.

"Le passage parle de combats dans lesquels les explosions des armes finales décimaient des armées entières, repoussants des masses de soldats avec leurs coursiers et leurs éléphants comme s'ils étaient des brindilles", dit Ganguli, "à la place de champignon atomique, l'auteur décrit une explosion perpendiculaire avec ses nuages de poussières se soulevant comme des parasols géants en train de s'ouvrir. Il y a des commentaires à propos de la contamination de la nourriture et les cheveux tombant des gens".


Ca c'est que Ganguli, traducteur du Mahabharata est censé dire???
Parce que sur la version electronique du Mahabharata que j'ai gardé (et que je peux envoyé par mail si ça interresse quelqun), il est dit que Ganguli a traduit le Mahabharata de 1883 à 1896...il faudra qu'on m'explique ce "léger" anachronisme.
Elle manque quand même énormément de clareté cette histoire.

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"Camouflage caca"


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MessagePosté: Lun Décembre 12, 2005 13:27 
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Inscription: Lun Juillet 11, 2005 01:37
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Localisation: Somewhere in the 21st century...
Citation:
C'est encourageant pour les essais de Mururoha.
Non, de ce côté là je pense qu'on a pas trop de soucis à se faire, le problème vient peut-être plus des séquelles des essais atmosphériques qui y ont eu lieu...


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MessagePosté: Lun Décembre 12, 2005 13:35 
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Messages: 1474
Certaines rumeurs prétendent que les "essais atmosphèriques" dont tu parlent, sont responsables des dérèglements climatiques sur notre planète.
Plusieurs nations faisant des tests sur ces nouvelles armes.

Mais il reste toujours des radiations, mêmes infimes et en sous/sol. Elles existent.

Peu importe l'endroit.

Il faut savoir que les radiations existent de manière naturelle, sans intervention de l'homme.

Et une explosion atomique dans l'antiquité est improbable.
Pourquoi ne pas simplement parler de l'exploitation d'éléments radioactifs par un peuple ancien.

Les textes me font penser aux récits de Platon sur l'atlantide qui arrangea l'histoire à sa manière.

Il y a toujours une part de réalité dans chaque mythe.

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MessagePosté: Lun Décembre 12, 2005 19:14 
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Inscription: Lun Juillet 11, 2005 01:37
Messages: 2643
Localisation: Somewhere in the 21st century...
Rumeurs qui n'ont pas vraiment de fondement scientifique, les bouleversements climatiques actuels n'ont rien à voir avec la radioactivité.

A moins que tu ne parles d'armes censée pouvoir modifier le climat : recherche "haarp" dans le forum (fonction rechercher, en haut à gauche).
Mais je parlais d'essais atmosphériques=à l'air libre, par opposition aux essais souterrains. Mais là encore, au vu de l'inertie énorme des systèmes mis en jeu, je doute fort que l'on puisse modifier le climat global à volonté.


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MessagePosté: Lun Décembre 12, 2005 23:25 
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Inscription: Dim Octobre 23, 2005 15:35
Messages: 84
Assez intriguant tout cela. En fait il y a tellement d'anachronismes dans notre histoire que l'on peut se demander si tout cela n'est pas du à des failles temporelles. Etrange en tout cas...


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MessagePosté: Mer Mars 15, 2006 17:57 
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Inscription: Lun Juillet 18, 2005 12:20
Messages: 1614
Selon ce site :
http://www.geopolis-fr.com/dossb.html

Le verre du désert lybien est bien le fait de la chute possible d'une météorite il y a des millions d'années.
Mea Culpa , vu mes doutes par le passé.


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MessagePosté: Mer Mars 15, 2006 18:15 
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Inscription: Mar Mars 07, 2006 00:15
Messages: 8
Localisation: saint domingue
:D Bonjour ,

Il y a un très bon livre de Jean Yves Casgha , sur le sujet des vieilles cités ainsi que sur les moyens technologiques utilisés il y a plus de 12000 ans, désolé pour le lien, pas le temps, mais très facile a trouver sur le net en marquant ce nom là...

Bonne journée.

_________________
PALENQUE


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MessagePosté: Mer Mars 15, 2006 19:52 
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Inscription: Ven Mai 06, 2005 17:41
Messages: 89
Localisation: valenciennes
C'est vraiment bizarre cette irradiation. Je vais me renseigner. Sujet vraiment intéressant.

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http://s1.bitefight.fr/c.php?uid=33746 <=votre ami c'est Tonyrock(avec une majuscule au début)


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