Espace
Qui sera le prochain Charles Lindbergh?
Pierre Boisvert -Journal de Montréal 29/09/2004 10h23

Jusqu'à récemment, seules les grandes agences gouvernementales disposaient des moyens et de la technologie nécessaires pour envoyer des hommes dans l'espace. Les temps ont bien changé!
En effet, après que les grandes nations furent mises à contribution pour permettre à l'homme d'aller dans l'espace, de marcher sur la lune et d'habiter en permanence une station spatiale en orbite autour de la terre, c'est au tour de l'entreprise privée de se lancer dans la course à l'espace. Pour les inciter à relever ce défi, le Prix X (X Prize) a été créé…

C'est en 1996, soit 70 ans après que le prix Orteig fut remporté par Charles Lindbergh pour avoir été le premier aviateur à traverser l'Atlantique, le X Prize était créé. Lindbergh reçut un prix de 25 000$ pour son exploit. Le X Prize est, pour sa part, doté d'un prix de 10 millions de dollars. Il sera remis à la première équipe à se rendre dans l'espace avec un vaisseau spatial réutilisable, un peu à l'image des navettes spatiales.

Le X Prize est un concours qui a pour but de développer l'accès privé à l'espace. Mais pour le gagner, les équipes participantes doivent respecter les règlements de ce concours bien spécial.

Le règlement impose que le lanceur utilisé soit réutilisable. En gros, il faut envoyer aux limites de l'espace un vaisseau spatial habité, le ramener sur Terre et le retourner dans l'espace moins de deux semaines après ce premier vol réussi.

Il y a fort à parier que les prochains mois verront plusieurs petites navettes spatiales tenter de gagner ce prix. C'est que la date limite a été fixée au 1er janvier 2005.

Les équipes qui participent au concours doivent atteindre, au cours d'un vol parabolique, 100km d'altitude. C'est la limite conventionnelle entre l'espace et l'atmosphère terrestre. Les navettes devront également compter trois passagers. Vingt-quatre équipes d'Amérique du Nord, d'Europe et d'Israël concourent pour ce prix.

Asanri X Prize: http://www.xprize.org

SpaceShipOne
Si certaines équipes ont présenté des projets bizarres, comme 'un véhicule utilisant l'antigravité pour décoller', d'autres, plus sérieuses, devraient tenter l'exploit cette semaine.

Le SpaceShipOne est déjà perçu par plusieurs comme le gagnant du X Prize. Ce véhicule spatial a déjà réussi ses premiers vols habités. Son premier vol suborbital, avec un seul pilote, a eu lieu le 21 juillet. Le premier vol remplissant les conditions du prix devrait avoir lieu ce matin, vers 6h.

Pour atteindre l'espace, le SpaceShipOne (SS1) est tout d'abord porté en altitude par un avion spécialement conçu pour cette mission. Une fois en altitude, le SS1 est largué, puis allume son moteur-fusée pour atteindre les 100km d'altitude nécessaires à la réussite de l'exploit.

Cette première envolée devrait être retransmise en direct dans Internet. On pourra assister à ce décollage, qui pourrait bien passer à l'histoire, sur le site officiel du Asanri X Prize.

SpaceShipOne: http://www.scaled.com/projects/tierone/

Une équipe canadienne
Parmi les équipes qui ont travaillé à construire des engins capables de se rendre dans l'espace et d'en revenir, il y a une équipe canadienne qui devrait faire parler d'elle en fin de semaine. En effet, l'équipe du projet da Vinci travaille fébrilement en vue du décollage de son vaisseau Wild Fire. Jusqu'à récemment, le projet da Vinci prévoyait effectuer sa première tentative pour le Prix X d'Asanri le samedi 2 octobre. Une autre date sera annoncée sous peu.

L'une des particularités de ce projet, c'est qu'au lieu d'utiliser un avion pour porter l'engin en altitude, c'est à l'aide d'un ballon qu'on l'amène à son point de départ à quelque 24km d'altitude).

L'équipe, presque entièrement constituée de bénévoles, s'est trouvé un nouvel investisseur qui devrait lui permettre d'aller au bout de l'aventure : il s'agit du célèbre (et controversé) GoldenPalace.com, qui passe pour être le plus gros casino en ligne.

Projet da Vinci: http://www.davinciproject.com/

Source: Canoë

SpaceShipOne : deuxième vol spatial réussi

MAJ : 29/09 - 19H30

SpaceShipOne a parfaitement réussi son deuxième vol spatial ce mercredi 29 septembre, après avoir décollé à 14h11 TU depuis l'aéroport de Mojave (Californie).

Comme pour la précédente tentative, Mike Melvill se trouvait aux commandes, seul à bord de l'appareil, qui emportait toutefois un lest afin de simuler la présence de deux passagers (...).

Source et informations complémentaires : Futura-Sciences

Sources informations originales : Spacenews - Flashespace,

SpaceShipOne s'élance lundi pour un 2e vol avec 10 millions de dollars à la clé

dimanche 3 octobre 2004, 12h06

LOS ANGELES (AFP) - î]SpaceShipOne, premier engin spatial privé avec pilote, tentera lundi un second vol suborbital en cinq jours, qui, en cas de succès, ferait gagner à son constructeur 10 millions de dollars d'une fondation visant à encourager le secteur privé dans la conquête spatiale.[/i]

L'équipe SpaceShipOne dirigée par Burt Rutan est largement favorie pour décrocher le prix Ansari X Prize de la fondation du même nom dont les membres donateurs espèrent qu'il ouvrira une ère du voyage dans l'espace comparable à celle de l'aviation commerciale à la fin des années 1920.

Ce que nous voyons enfin aujourd'hui après 40 ans d'attente, c'est le début de la révolution du vol spatial privé", a déclaré Peter Diamandis, le président de la fondation Ansari.

SpaceShipOne a été le premier avion avec pilote, entièrement financé avec des fonds privés, à franchir le 21 juin la frontière de l'espace, 100 km au-dessus du globe.

Mercredi, le pilote d'essai Mile Melvill, 62 ans, avait effectué un second vol avec succès dans une ascension spectaculaire qui a donné quelques sueurs froides à tous ceux qui suivaient l'évènement.

SpaceShipOne a virevolté pendant plusieurs dizaines de seconde alors qu'il effectuait une ascension à la verticale à plus de trois fois la vitesse du son (3.500 km/h) avant de se stabiliser et d'atteindre, à son apogée, 103 km d'altitude. Il est ensuite retombé dans l'atmosphère et a plané une trentaine de minutes avant de se poser.

"C'était un vol presque parfait" malgré "les rouleaux de victoire" involontaires, avait dit l'air amusé Mile Melvill peu après s'être posé.

Lundi, à environ 07H00 locales (14H00 GMT), SpaceShipOne repartira du désert californien de Mojave accroché au flanc d'un jet de transport fait sur mesure baptisé "White Knight".

A environ 15 km d'altitude et après une heure de vol, SpaceShipOne se séparera et le pilote, dont le nom n'avait pas été dévoilé samedi soir, allumera le moteur fusée pendant plusieurs dizaines de secondes, propulsant l'engin à la verticale à plus de 3.000 km vers la frontière de l'espace où il devrait être en état d'apesanteur pendant 3,5 minutes.

Si tout va bien, une fois atteint son apogée, le moteur ayant été coupé avant de franchir les 100 km, SpaceShipOne retombera dans l'atmosphère pour planer près d'une demi-heure avant de se poser vers 08H30 locales (15H30 GMT).

Burt Rutan a confirmé le maintien du vol pour lundi après avoir examiné les données de vol de mercredi pour s'assurer que le virevoltage de SpaceShipOne n'était pas dû à une défaillance mécanique.

Le prix Ansari, financé par des donateurs privés, a été créé en 1996 à l'instar du prix Orteig dans les années 1920 pour encourager le transport aérien commercial. Charles Lindbergh avait gagné ce prix après avoir réussi le premier vol transatlantique en 1927.

Pour décrocher le prix Ansari, le même engin spatial privé doit pouvoir effectuer deux vols suborbitaux en l'espace de deux semaines et transporter, en plus du pilote, l'équivalent en poids de deux passagers.

Si SpaceShipOne est la création de Burt Rutan, son financement a été assuré par le milliardaire Paul Allen, co-fondateur de Microsoft. Ensemble ils ont créé Mojave Aerospace Ventures, l'équipe qui gère SpaceShipOne.

La réussite du premier vol de SpaceShipOne a déjà suscité un grand intérêt d'autres investisseurs pour développer le tourisme spatial.

Le milliardaire britannique Richard Branson vient de conclure un acccord de quelque 20 millions d'euros avec Mojave Aerospace Ventures pour créer la première société de transport spatial au monde baptisée Virgin Galactic qui utilisera la technologie de SpaceShipOne.

Source : [url]Agence France-Presse (AFP)[/url]

L'Ansari X-Prize remporté par SpaceShipOne

Le 04/10/2004 à 18h17.

Lorsqu'il y a quelques années, le X-Prize fut instauré, certains avaient affirmé qu'il ne pourrait jamais être remporté, doutant que de simples particuliers puissent un jour envoyer des hommes dans l'espace. Aujourd'hui, c'est fait.


Retour du SpaceShipOne en vol plané

Avec cette fois Brian Binnie aux commandes, un ancien pilote d'essai de la Marine américaine âgé de 51 ans, le SpaceShipOne s'est envolé à 13h47 TU (6h47 locales) de la piste de Mojave, en Californie. A 14h48 et 14.100 mètres d'altitude, le pilote provoquait la séparation et allumait son moteur avant de se mettre à foncer à la verticale dans un ciel bleu qui, en quelques minutes, virait au noir absolu, le noir de l'Espace.

Cette fois, le vol s'est déroulé sans le moindre incident et le SpaceShipOne pouvait montrer toutes ses possibilités, avec une pleine charge à bord. Moins d'une heure plus tard, les radars de la base donnaient leur verdict: SpaceShipOne avait atteint l'altitude record de 114,64 km.

SpaceShipOne bat ainsi le record d'altitude absolu pour un avion-fusée piloté, détenu depuis 41 ans par le X-15 n° 3 de la Nasa qui avait atteint 107.960 mètres le 22 août 1963 avec J. Walker aux commandes.

Mike Melvill, un Américain de 61 ans d'origine Sud-Africaine, avait pris les commandes du SpaceShipOne lors de ses deux premiers essais, dont le vol historique du 21 juin.

Avec la consécration de l'Ansari X-Prize, le vol spatial ne devient plus seulement accessible au public, il devient routinier. Etape que de nombreux observateurs n'hésitent pas à classer par ordre d'importance devant le premier pas effectué par l'Homme sur la Lune, qui n'avait directement concerné qu'une poignée de scientifiques.

Source : Space News International, via Futura-Sciences

La liste des futurs touristes spatiaux s'allonge

MOJAVE (AFP), le 09-10-2004

Depuis que le premier engin spatial privé a réussi ses vols dans l'espace, de nombreux amateurs de sensations fortes se sont inscrits en payant quelque 100.000 dollars pour effectuer un voyage dans la galaxie, qui pourrait avoir lieu dès 2007.

Le succès tout récent de SpaceShipOne, qui à deux reprises a réussi ses vols suborbitaux, a concrétisé les rêves les plus fous et ouvert la voie du tourisme spatial. Pour encourager cette nouvelle aventure, les concepteurs de l'engin ont reçu de la fondation Anzari une récompense de 10 millions de dollars.

Ainsi, près de 125 "fous d'espace" se sont inscrits et ont déjà payé pour figurer sur la liste d'attente.

"Cela peut encore sembler de la science fiction pour certains mais c'est devenu de plus en plus une réalité", estime Nik Halik, un millionnaire de 35 ans qui fait partie des aspirants astronautes.

"Je suis un amateur de sensations fortes qui a toujours été obsédé par l'espace. J'ai commencé une collection sur des livres de fusées à l'âge de 4 ans et maintenant je n'attends plus que de participer enfin à un vrai voyage", a-t-il expliqué à l'AFP.

Nik Halik a déboursé 105.000 dollars pour son voyage hors de l'atmosphère terrestre qui pourrait, selon l'agence de voyage spatial "Space adventure", avoir lieu dès 2007.

Il a aussi suivi sur ses propres deniers un entraînement d'astronaute à la Cité des Etoiles en Russie.

"Ca vaut la peine, c'est une nouvelle frontière pour l'humanité qui sera franchie et j'ai la possiblité de faire partie de cette aventure", explique-t-il.

Halik espère que son voyage durera environ 90 minutes, dont 15 minutes à la limite de l'espace à l'instar de ce qui a été parcouru par SpaceShipOne. En forme de suppositoire ailé, cet engin conçu par Burt Rutan a atteint une altitude de 114 km et réussi deux vols suborbitaux dépassant les 100 km, considérés comme la frontière de l'espace.

Cette performance a été saluée comme historique. Ellle marque le début du transport spatial commercial, s'était exclamée juste après le vol Marion Blakey, qui dirige l'Administration américaine de l'aviation civile (FAA).

Le milliardaire britannique Richard Branson, fondateur de la compagnie aérienne Virgin et amoureux de l'espace, s'est aussi déclaré interessé par la création d'une société conjointe pour exploiter commercialement l'espace en utilisant un engin dont la technologie serait basée sur celle du SpaceShipOne.

"Il y a deux ans, les gens se moquaient de l'idée d'un tourisme spatial dans un proche avenir. Mais nous pensons que cela peut arriver en 2007", explique Eric Anderson, président de Space Adventures (aventures dans l'espace), la seule société au monde qui prend déjà des réservations payantes pour des voyages suborbitaux.

"J'ai été fasciné par l'espace depuis que j'ai vu +Star Wars+ et +Star Trek+", raconte Adam Smith, 14 ans.

"Ce sera une révolution, nous pourrons aller déjeuner à Paris et dîner ensuite près des Pyramides", dit avec des étincelles dans les yeux cet écolier qui a déjà économisé 1.000 dollars, et compte continuer ses efforts pour avoir les 100.000 dollars demandés.

Per Wimmer, 36 ans, un ancien diplomate danois, a déjà payé pour son vol et investi dans un entraînement physique: "Certains pensent que je suis fou et mes proches s'inquiètent de cette passion, mais les vols commerciaux dans l'espace sont devenus une quasi réalité et je suis bien décidé à être le premier Danois à y participer".

"Pour moi il ne fait aucun doute que tous ces efforts valent la peine. J'ai toujours rêvé d'aventure et maintenant je pourrais enfin aller quelque part où au moins je ne trouverais pas un distributeur de Coca-Cola"

Source : Agence France-Presse (AFP)

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Nouvelle tentative de lancement pour Da Vinci
Presse Canadienne (PC) 14/10/2004 06h59


La fusée Wild Fire du projet canadien Da Vinci, le 5 août 2004.

© CP Aaron Harris


Les résidants de Kindersley en Saskatchewan sont certes très fiers que leur ville ait été choisie pour le lancement de la première fusée canadienne habitée dans l'espace, mais plusieurs n'ont guère apprécié que le lancement ait été annulé à la dernière minute il y a deux semaines.
Jusqu'au mois dernier, on donnait une bonne chance au projet canadien Da Vinci de gagner le fameux Prix X Ansari, d'un montant de 10 millions $, accordé à l'entrepreneur privé qui lancerait une fusée avec trois voyageurs dans l'espace, ou l'équivalent en poids, deux fois de suite dans un délai de deux semaines.

Cependant, le prix a été remporté plus tôt ce mois-ci par une équipe américaine avec son SpaceShip One.

Les résidants de Kindersley attendaient depuis des mois le fameux lancement et avaient dépensé quelque 15 000 $ en préparations diverses pour l'événement. Toutes les chambres d'hôtels étaient réservées et les restaurants avaient fait des réserves pour nourrir tous les visiteurs. Certains commerçants avaient même investi plusieurs milliers de dollars en objets-souvenirs. On avait également prévu tenir des courses de stock-cars pour accompagner l'événement.

C'est donc un accueil un peu froid qui attendait mercredi un des responsables du projet venu en ville pour préparer une nouvelle tentative de lancement, qui devrait avoir lieu d'ici un mois.

«Je m'attends à ce que les gens fassent preuve d'enthousiasme, a déclaré David Grossman avant une assemblée publique de citoyens, mercredi soir. Mais c'est clair qu'il y a encore des sceptiques.»

«La moitié des gens y croient et l'autre moitié n'y croient pas, d'affirmer Linda Elliott, propriétaire d'une boutique de café qui se retrouve aujourd'hui avec des stocks invendus. Tout le monde était excité puis l'affaire est tombée à l'eau, alors, les gens y pensent avant de s'emballer à nouveau.»

«J'attends de le voir pour le croire», a déclaré pour sa part Norm Wiggins, un responsable du musée de Kindersley, qui a dépensé un millier de dollars pour prolonger sa saison touristique à cause du lancement prévu. En pure perte cependant puisqu'il n'y a pas eu de lancement.

La fusée du projet Da Vinci doit être emportée en haute altitude par un ballon avant sa mise à feu.

Source : Canoë

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Les concepteurs de SpaceShipOne reçoivent
le prix Ansari X Prize
Associated Press (AP) 08/11/2004 14h00


Amir Ansari sourit alors qu'on dévoile le trophée portant
son nom de famille, le Ansari X Prize.
© AP James A. Finley

Les concepteurs de SpaceShipOne, premier aéronef privé à avoir atteint la frontière de l'espace, à 100km d'altitude, ont officiellement reçu samedi le prix Ansari X Prize, une récompense de 10 millions de dollars (8,1 millions d'euros) visant à promouvoir le tourisme spatial.
Ce concours récompense la première firme privée capable d'effectuer un vol suborbital habité à bord d'un véhicule réutilisable, puis de renouveler l'expérience dans un délai de deux semaines.

Fabriqué par la firme Scaled Composites en matériaux composites, SpaceShipOne a été financé à hauteur de plus de 20 millions de dollars par Paul Allen, un des cofondateurs de Microsoft. Il a remporté le Ansari X Prize en atteignant l'espace deux fois de suite en moins de cinq jours.

En plus du chèque, son concepteur, Burt Rutan, a reçu samedi à St Louis (Missouri) un trophée d'un poids de 70kg.

Le Ansari X Prize va maintenant devenir une compétition régulière baptisée la X Prize Cup. Plus d'une vingtaine de projets du monde entier ont concouru pour remporter ce prix, et son fondateur, Peter Diamandis, a expliqué que le but de la création du X Prize Cup était de conserver la compétition à «un grand prix de l'espace».

SpaceShipOne a franchi pour la première fois la frontière de l'espace en juin dernier, puis effectué un nouveau vol suborbital le 29 septembre, avant de confirmer l'expérience le 4 octobre.

Richard Branson, le milliardaire britannique patron du groupe Virgin et partenaire de Burt Rutan, a d'ores et déjà annoncé son intention de lancer dès 2007 des vols spatiaux ouverts au public moyennant 155 570 euros la place.

SOURCE : Canoë Techno-sciences

Des vacances dans l'espace...qui est-ce qui ne rêve pas face à cette possibilité qui devient de plus en plus concrète...

Au prix du voyage, c'est certain, M. et Mme "tout le monde" ne pourrons pas accéder à ce rêve avant un bon moment...c'est une perspective qui semble plus réalisable pour nos enfants... :D