Ce qui est cité en fin d'article est en effet soumis à controverse, et ça ne joue pas en faveur de l'article — et du site qui le publie.
Par contre, l'étude me semble plus intéressante, même s'il faut prendre plus de pincettes pour en parler, ce que ne fait pas le journaliste.
Car pour l'instant, on a des patients en été végétatif dont des zones du cerveaux s'activent lorsqu'on pose des questions simples.
Et il se trouve que ces zones sont les même que chez des sujets conscients.
Mais ça ne nous dit pas si ces zones s'activent par réflexe, ou si l'état de conscience est un état complet : le parallèle dressé avec la question de l'euthanasie est vraiment fait à l'emporte pièce.
N'ayant jamais été dans le coma, je ne connais qu'un état de conscience (très) altéré. Et quand je suis bourré, je peux facilement répondre à la question
qui est ton père, alors que j'aurai bien plus de mal à donné mon accord éclairé pour une euthanasie
