dj_raf,
Voilà qui est désolant de penser que la pollution engendrant l'effet de serre (entre autres) émanant de l'activité humaine, n'est pas prouvée.
D'éminents spécialistes dont des climatologues, des glaciologues, lancent des appels pressants, nous mettent en garde d'une catastrophe majeure inévitable et on leur répond, "faut voir, rien n'est prouvé, ce n'est peut-être pas à cause de l'homme" et bien voyons.
Mais il ne faut pas se leurrer, la confirmation quand vous allez l'avoir, elle ne vous donnera pas le temps de regretter de ne pas avoir agit plus tôt.
Hormis les effets climatiques, la fonte des glaciers augmente le niveau des mers et surtout la répartition des masses à la surface de la planète, notamment les océans, ce qui engendre une variation de la forme de la Terre à cause des forces exercées par la rotation terrestre.
Personne ne peut dire avec certitude ce qui va se passer, mais ce qui est certain, c'est que ce ne sera rien de bon et cela risque bien de dépasser nos prévisions les plus pessimistes.
Et ce n'est que la partie la plus apparente du problème.
Citation:
L’océan mondial absorbe actuellement une quantité de dioxyde de carbone (CO2) sans précédent, ce qui augmente son acidité et menace probablement la survie à long-terme de beaucoup d'espèces marines, et plus spécifiquement les organismes contenant du carbonate de calcium dont la famille des coraux, les mollusques et crustacés ainsi que le phytoplancton. Selon les recherches présentées récemment à un colloque organisé par la Commission Océanographique Intergouvernementale de l'UNESCO (COI) et le Comité de la Recherche Océanique du Conseil International pour la Science (SCOR), ce changement pourrait perturber les chaînes alimentaires marines et altérer la biogéochimie des océans dans une proportion et d’une façon qui ne sont pas encore prévisible et compréhensible à ce jour.[...]
[...]L'absorption du dioxyde de carbone par les océans est considérée comme un processus bénéfique qui réduit la concentration du CO2 dans l'atmosphère et atténue son impact sur les températures globales. Cependant, il y a une inquiétude croissante sur le prix à payer pour ce service. Pour les participants au colloque, il est maintenant bien établi que d’ici le milieu de ce siècle, le poid de l’accumulation du CO2 entrant dans l'océan mènera à des changements de pH ou d’acidité des couches supérieures qui seront d’une ampleur trois fois plus importante et 100 fois plus rapide que ceux subis entre les périodes glaciaires. Des changements aussi brutaux du système du CO2 dans les eaux de surface des océans n’ont pas été observés au cours de plus 20 millions d’années d’histoire terrestre, ont conclu les participants au colloque.[...] - Source :
Notre planèteCitation:
[...]
Les Polluants atmosphériques.Ils sont de deux sortes: les gaz d'une part(90%) et d'autre part pour 10%, les particules solides rejetées par les cheminées ( usines et foyers domestiques) et par l'échappement des moteurs thermiques (avions, bateaux et automobiles).Mais il y a des interactions entre les différents polluants gazeux qui multiplient leurs effets en donnant chaque fois une combinaison nouvelle de substances toxiques.Au premier rang des polluants atmosphériques, on doit citer l'anhydride sulfureux qui s'oxyde rapidement en SO3 transitoire pour donner avec l'humidité de l'air, l'acide sulfurique. Résultat: les pluies acides qui sont un des fléaux des pays industriels.Il y a au deuxième rang, l'oxyde d'azote qui se combine diversement avec les imbrûlés divers eux-mêmes des moteurs à pétrole pour donner les fameux PAN (peroxyacylnitrates) plus nocifs que les polluants d'origine. L'effet néfaste de ces polluants se manifeste sur toute forme de vie animale ou végétale, et perturbe les cycles biogéochimiques. Les dérivés du soufre et de l'azote sont en tout cas les plus préoccupants dans le drame de la pollution produite par les activités humaines par leur action néfaste directe sur toute vie, et par l'action de leurs dérivés responsables de d'autres effets toxiques. On doit citer aussi les dérivés fluorés qui viennent de l'industrie de l'électrochimie de l'alumine. Ils ont un effet catastrophique sur de nombreuses espèces de plantes et sur des forêts entières. Les fréons utilisés dans l'industrie du froid, en s'accumulant dans l'atmosphère, se trouvent exposés aux rayons ultraviolets et cassent les molécules d'ozone. C'est l'effet destructeur de la couche d'ozone. cet écran, en filtrant les rayons du soleil, a permis la forme de vie apparue sur la terre.[...] - Source :
rencontreweb
Des exemples, il y en a des centaines, à part ça, tout va bien.