LE PROJET HAARPHAARP (High-Frenquency Active Auroral Research Program), est un projet qui coûte plus de 30 millions US$ par an aux Etats-Unis (orchestré par le département de la défense, le US Navy et le US Air force). Il est installé depuis 1993 à Gakona, petite localité au nord-est d’Anchorage appartenant au département américain de la défense (DoD) en Alaska. Le Haarp project se présente comme étant simple une station de recherche sur les propriétés de la ionosphère. Pendant que les sages décisions sur les changements climatiques tel le réchauffement de la planète n'en finissent pas de trainer les pieds (principalement du côté Américain). Quoi qu’il en soit, si l'on souhaite voir plus loin que les simples arguments avancés par les gouvernements au sujet de ces graves changements climatiques, la base Haarp ne serait pas innocente.
Les scientifiques travaillant pour l’armée américaine ont découvert comment contrôler la température globale de la planète en envoyant des signaux haute-fréquences dans la ionosphère (plus précisément dans la ceinture de Van Allen, ceinture de radiations autour de la terre), à l’aide d’instruments et d’équipements ultra sophistiqués implanté dans la base HAARP. La ionosphère est la couche au-dessus de la stratosphère et elle est située entre 60 et 900 Km d’altitude de la croûte terrestre. La ionosphère est constituée de particules ionisées hautement chargées en énergie et elle a un rôle vital pour notre planète en servant de bouclier électrique contre les vents et tempêtes solaires et galactiques, ainsi que les particules cosmiques à haute énergie, menacant la vie terrestre. Sur le site du projet Haarp se trouve 48 antennes de 20 mètres de haut, chacune reliées à un émetteur générant 1 million de watts de puissance par antennes. La centrale sur le site, permet à un grand nombre de scientifiques de se regrouper dans les laboratoires unis des meilleurs équipements actuels. La centrale est reliée à l'un des ordinateurs les plus puissants de la planète se trouvant à l'université d'Alaska dans le Butrovich building.
La zone ciblée de la ionosphère par les hautes-fréquences envoyées par les antennes de la base HAARP, servent de miroir redirigeant des fréquences extrêmement basses (ELF : Extremely Low Frequency) vers la terre. Hors, cette activité engendre un fort réchauffement des régions ciblées de la ionosphère et l'effet miroir renvoit un réchauffement global de la planète. De plus, les émetteurs des antennes sont alimentés en énergie par 6 turbines de 3,600 CV chacune, brûlant 95 tonnes de diesel par jour et émettant plus de 7 tonnes de matières polluantes dans l’environnement à la journée.
Nous savons parfaitement que le réchauffement de la planète entrène la fonte des glaces et que les récentes inondations à travers le monde ne sont qu’un début. L’atmosphère est fragile et essayer de la manipuler à notre gré, provoquerai inévitablement de très graves problèmes (inversement des pôles, feux de forêts, détérioration de l’air, des sols cultivables, de la faune, de la flore... donc mise en danger de la vie humaine).
Les modifications de la biosphère à des fins militaires ou hostiles, sont interdites par la Convention ENMOD de 1977. Pourtant, le concept de Environmental Warfare est bien d'origine militaire. Et depuis 1990, alors que se développe aux Etats-Unis une Revolution in Military Affairs (RMA) sensée adapter les forces armées à leurs missions du 21ème siècle, la recherche dans les techniques de modifications environnementales se multiplient.
Ces nouvelles missions, ou Future Warfare, reposent sur une domination dans l'air et dans l'espace, et nécessitent une maîtrise optimale de l'environnement combiné avec les moyens de communication, ainsi que de nouvelles classes d'armes à énergie dirigée. Ce qui expliquerai logiquement l'intensification des recherches militaires sur les propriétés ionosphériques et les ondes électromagnétiques : le but même du HAARP.
Par ailleurs, il serai probable que les deux ouragans d'une violence exceptionnelle des 25 et 27 Décembre 1999, s'abattant sur la France, furent volontairement provoqués par la base HAARP. Au lendemain de ces tempêtes, le réseau électrique est hors circuit et de très nombreuses forêts sont dévastées... Les Etats-Unis aurait utilisé leur arme climatique afin de sanctionner l'attitude récalcitrante de la France sur la mondialisation, les OGM, et le traité de l'AMI (Accord Multilatéral sur l'Investissement).
Mais HAARP n'est sans doute qu'une partie émergée de nouveaux projets militaires relançant la course à l'armement, et ceux sans compter les nombreux risques de provoquer des dommages irréversibles sur l'environnement.
Article tiré de : http://www.paraworld.free.fr/haarp.htmSources et liens complémentaires :http://www.ib.be/grip/bdg/g1666.htmlhttp://perso.wanadoo.fr/metasystems/ArmesClimatiques.htmlhttp://membres.lycos.fr/filterman/climat.htmhttp://www.freeflights.net/carl1/haarp.html