Il existe un bouton "Editer" pour éviter les doubles postes.
CERPI a écrit:
Au sujet de la légitimité, je crois avoir répondu.
Pas vraiment, non. Tu t'attribues toujours une légitimité que tu n'as pas. Être en rapport avec le parquet ne signifie pas qu'on est mandaté par lui.
CERPI a écrit:
Ai-je dit que le beau-fils ne pouvait être responsable de rien? J'ai dit qu'il n'était pas "fou" comme certains le prétendent. Je suis d'accord sur le fait que quelqu'un de perturbé puisse dissimuler, affabuler, etc. Mais je ne le suis pas quand il s'agit d'expliquer les choses en prétextant la "folie" de quelqu'un.
Justement, je dis bien qu'il n'y a pas besoin d'être fou pour être perturbé.
CERPI a écrit:
D'ailleurs, si des phénomènes survenaient chez quelqu'un de "mentalement perturbé", pour employer un vocable moins désagréable, cela ne prêcherait naturellement pas pour l'authenticité des faits, mais est-ce que cela signifierait pour autant que ces phénomènes ne puissent se produire?
Non, mais dans tous les cas, il faut fournir des preuves que ces phénomènes ont bien lieu.
CERPI a écrit:
Donc, si je comprends bien, selon vous les gendarmes ont également agi par intérêt, par amusement ou pour toute autre raison?
Je n'ai jamais parlé des gendarmes, mais uniquement du copain de la fille de la famille.
CERPI a écrit:
Ni cette cassette de faire l'objet d'un black-out de la part des autorités.
N'est-il pas normal que dans une enquête on ne révèle pas les preuves à tout va ? Cela me paraît la base de tout travail d'enquêteur.
CERPI a écrit:
Ils ont aussi (et peut-être surtout) isolé le sujet: sans résultat!
C'est à dire ? Les phénomènes ont continué ?
CERPI a écrit:
Nous avons enquêté même sur les gendarmes et les policiers (et nous leur avons dit après coup d'ailleurs! Ce qu'ils ont trouvé tout à fait normal)
Pour une fois, je suis d'accord. Il ne faut négliger aucune piste.
CERPI a écrit:
contrairement à ce que d'aucuns (beaucoup!) ont prétendu, les phénomènes ont débuté avant l'arrivée du jeune homme (il s'en faut de beaucoup) et la fin de l'affaire, telle qu'exposée en général, ne correspond pas non plus à la réalité.
Comme en tout, il ne suffit pas d'affirmer. Nous en attendons des preuves.
CERPI a écrit:
mais imputer sa seule responsabilité ou sa santé mentale est complètement hors propos.
Là dessus, nous n'avons que ta parole.