Voici l'une de mes expériences :

En 2001 je travaillais dans l'hotellerie et j'effectuais l'entretien des chambres sur 4 étages avec d'autres femmes de chambre (chacune son étage en alternance)
Ce n'est qu'au bout de plus d'un an (je ne sais plus quelle période exactement), qu'un jour, je suis rentrée dans une des chambres située au dernier étage pour commencer à la faire, porte maintenue ouverte, j'ai senti immédiatement la présence de quelqu'un. J'ai essayé de ne pas y penser mais je n'ai pas pu faire quoique ce soit car je me sentais fortement observée. Je précise bien qu'il n'y avait personne ni dans la chambre ni dans le couloir.

Je me suis mise à scruter la chambre sans oser bouger et je sentais qu'il y avait quelqu'un assis sur la chaise en train de me regarder. Je me suis dit "arrête tes c....ries, tu dois te faire des idées!" J'ai donc décidé d'attaquer par la salle de bains. A peine commencé à faire le lavabo que je vis dans le miroir dont la vue donnait sur la porte d'entrée de la salle de bains quelqu'un passer vite de l'intérieur de la chambre à la sortie de la chambre, un homme jeune, chatain...?? Je suis restée deux secondes paralysée et je suis sortie immédiatement pour voir si il y avait un client dans le couloir.

Mais là personne! J'ai cru à une hallucination mais je commencais à flipper. Et je suis descendue appeurée dans le hall de l'hotel. J'ai raconté ça à ma Directrice (jeune et avec qui je m'entendais bien) ainsi qu'à mes collègues. Pas une seconde on ne m'a pas cru. J'ai même été surprise car mes deux autres collègues présentes ce jour là m'ont dit : " ahhh toi aussi ça te le fait?" La Directrice est montée à l'étage et a prononcé "ya quelqu'un??" .... Rien.... J'avais plus envie de faire l'étage. Aprés quelques discussions avec mes collègues nous nous sommes dit qu'il ya des années ce lieu avait pu être une tuerie et qu'il en restait des esprits.

Cette forte présence je l'ai ressentie à nouveau à intervalles trés irrégulières mais j'essayais de travailler jusqu'au jour ou elle a été tellement forte qu'elle m'empechait de travailler tellement j'avais peur. Ce jour là j'ai dit à voix haute "va t en, tu me fais peur, disparait s'il te plait" et depuis ce jour là... plus rien jusqu'à mon départ de ce job.

Je rajoute que j'habitais à deux pas de cet hotel et qu'un jour en pleine intimité avec mon petit ami nous nous sommes arrêté net car extrèmement sentis d'un coup observés au même moment à la même seconde!
bizarre...L'esprit s'il existe m'aurait il suivie??

Déja avant de savoir si un esprit t'as suivi, est tu sûr que la personne que tu as vu en est un ? Ce pourait etre un client de l'hotel qui est passé ds cette chambre ou un de tes collegues qui s'amusa a te faire une farce. Maintenant tu te sens observé c peut etre une hallucination ??? El-di4blo

Je ne me suis pas sentie suivie car l'évènement ne se passait plus à ce moment là. Comme j'ai dit, la sensation d'être observée, et/ou qu'il y avait quelqu'un pouvait se passer un jour puis plus rien pendant 2/3 semaines. Lorsque je me suis retrouvée chez moi je n'y pensais plus depuis longtemps (2/3 semaines), et donc cette forte sensation est apparue d'un coup et pas que pour moi...Nous étions seul dans l'appartement. Et pour ce qui est de l'hotel, je peux t'assurer qu'il n'y avait personne car c'est la première chose que j'ai faite de penser que c'était une blague d'un client !! je n'avais pas de collègue masculin ! De plus l'apparition que j'ai vue provenait de l'intérieur de la chambre d'ou je venais et non de l'extérieur.. Schéma ci-dessous de la chambre



D'autre part c'est une "expérience qui a eu lieu en 2001/2002 et qui s'est arrêté nette. Je n'ai travaillé dans cet hotel que deux ans.

Merci de t'être interressé à ce cas et pour ton commentaire.
Pour ma part j'ai eu beau me remettre en question, je n'ai pas d'explication rationnelle. Sur le moment j'ai lutté dans ma tête pour me dire que c'était une hallucination mais le ressenti était plus fort.
J'ai d'autres expériences plus ou moins similaires que j'évoquerai quand ça me prendra. Bizarres aussi. Mais j'ai également des témoignages de proches plus "fous" que mes propres expériences. Je crois en ce que les autres me racontent car ils ont toujours eu du mal à se confier alors que le sujet m'a toujours interressé et que je crois aux récits des mes proches. Je recherche toujours une cause rationnelle mais quand il n'y en a pas... que doit on penser?

As tu fait une recherche sur cet hotel (asassinat, suicide, construit sur un ancien cimetiére)

Non je n'ai pas fait de recherches. Mais en discutant avec un collègue (veilleur de nuit) il m'a dit qu'à une époque à cet endroit, il n'y avait pas cet hotel, des centaines de gens avaient été pendus. à vérifier.
Il s'agit d'un hotel situé à Bordeaux prés de la gare St Jean, rue de Tauzia, proche des quais.

Eh ben, c'est flipant je n'aurais pas aimer etre a ta place. Moi je me serais mis en maladie ou en conger et peut etre démissioner.

Hum interessant tout sa. Je suis encore assez septique mais la possibilité d'un esprit qui aurait était pendu aurait pu rester sur ce lieu (généralement quand une personne est pendue, son esprit demeure a jamais sur le lieu du drame)

Déjà ce n'était qu'au 4ème étage, et puis la chaîne d'hotel a fait un licenciement économique sur les femmes de chambres. ça aurait été bête de démissionner !!
De plus je n'ai pas senti cette "présence" comme maléfique bien au contraire. Elle aurait été maléfique, j'aurais pû penser comme toi mais curieusement mon ressentie était comme si elle avait de l'affection, de la sympathie presque de l'amour pour moi. Mais ça ne m'a pas empêché d'avoir une énorme trouille !!

Jamais je n'ai vu d'esprits (malheureusement) , mais le sentiment de présence dans un lieu absent de vie, m'est déjà arrivé.
Assez souvent .

Jusqu' à en devenir malsain.
Ce sont des lieux ou endroits bien précis.
Mon père à vécu dans une maison comme cela , nous aurions pu l'acheter , nous ne l'avons pas fait , pour cela.

Ma femme n'osait pas y rester seule .

La sensation que tu as eu , n'est pas rare , la vision l'est beaucoup plus.