axolotl_requiem a écrit:
Doc,
Ce que tu décris ressemble énormément à une forme d'autohypnose, dont l'un des effets connus est de faire ressurgir des souvenirs écrans de l'inconscient
Pour l'autohypnose, il faut se poser des questions qui induisent une ou des images , là ce n'est pas le cas, vu que les questions se posent en voyant les images et les réponses ne sont pas données en image, mais mentalement.
axolotl_requiem a écrit:
c'est-à-dire de faux souvenirs, c'est-à-dire une invention de l'inconscient pour oublier un vrai souvenir.
Ah ? Peux-tu être plus précis ? De quel genre de vrais souvenirs doit-on oublier ? Et pourquoi resurgiraient-ils lors de ces séances ?
axolotl_requiem a écrit:
D'autre part, cet état hypnotique est très proche du sommeil hypnagogique, lors duquel tout le monde garde un semblant de contrôle sur le déroulement du rêve qui commence et encore une fois, il s'agit de symboles tout droit sortis de l'inconscient.
Les hallucinations du sommeil hypnagogique sont souvent abérrants, et l'esprit n'est pas en mesure d'analyser ces hallucinations. Je ne pense pas qu'il puisse durer 1h ou 2 sans que le sujet ne s'endorme, et à l'issue de ce temps de rêve hallucinatoire, décider qu'il est temps de se retrouver dans le même état qu'avant le rêve.
axolotl_requiem a écrit:
Comment valider le fait que ces deux méthode provoquent une régression réelle ?
Yann.
Tout simplement en faisant des recherches sur les lieux, les gens ou sur l'identité de la personne que tu es pendant la régression.
Donc pour résumer, tu penses que le fait d'être dans cet état particulier peut faire resurgir des souvenirs douloureux et de faux souvenirs masquent la réalité.
Le problème est que beaucoup de gens n'ont pas de souvenirs douloureux ou même que les images issues d'une régression sont plus déstabilisantes que certains souvenirs les plus durs.