Voici un petit texte d'un des plus éminents ufologue et spécialiste en paranormal français (disponible sur
http://perso.wanadoo.fr/casar/BIDCHARP.htm)
Citation:
Nos lecteurs sont avides de connaître les nouvelles aventures que j’ai vécues dernièrement auprès de mon ami Jean Claude P. Je vais vous en dévoiler quelques-uns une, mais cela devient tellement dense, et tellement long à raconter que je vais écrire un nouveau livre, après celui qui sortira en janvier 2003, pour expliciter ce qu’est le ‘’ vrai ‘’ paranormal, par rapport au paranormal de pacotille. Je me ferai assister de physiciens, pour le côté analyses scientifiques.
Amis lecteurs, certains d’entre vous connaissent Jean Claude par les livres, les émissions radio, et par sa venue à une de nos assemblées générales. Vivre avec lui plusieurs jours d’affilée est une expérience inimaginable, difficilement croyable, et parfois angoissante. Patrice, le président de notre association en a été témoin, il peut en témoigner. Je vais juste donner quelques exemples vécus récemment pour ceux qui ne savent pas à quoi ressemble du paranormal de ‘’ haut niveau ‘’.
En juin dernier, JCP et sa compagne Virginie arrivaient de Marseille par le train pour venir passer quatre jours dans notre maison de la banlieue bordelaise. Mon épouse et moi les attendions sur le quai de la gare de Bordeaux, quand le haut-parleur annonça que le train aurait une heure et demie de retard. Jean Claude m’appelle sur mon portable, pour me dire qu’ils sont dans la région de Toulouse. Nous attendons patiemment assis sur un banc. Les quais sont vides, aucun train à l’arrêt. Mon portable sonne de nouveau. C’est encore Jean Claude qui me dit : ‘’on vous attend devant la gare de Bordeaux, à la stations des taxis ‘’ Nous sommes abasourdis ! Aucun train n’est entré en gare. Nous sortons et effectivement nous retrouvons nos amis à l’endroit indiqué. Ils sont la, et le train n’est pas arrivé ! Il ne devrait arriver que ¾ d’heures plus tard. C’est incroyable, mais avec Jean Claude il ne faut s’étonner de rien.
Ce n’est pas une hallucination, puisqu’ils montent tous deux dans ma voiture, et que nous regagnons mon domicile. La seule explication d’après mes amis scientifiques c’est que JCP manie le Temps et l’Espace comme il le désire. Jean Claude nous dit toujours : ‘’ Ne cherchez pas à comprendre, pensez simplement que c’est merveilleux ‘’ Difficile à avaler, mais quand on est devant les faits, on ne peut que constater.
Arrivé chez moi, la barre de main courant pour monter l’escalier est décrochée, elle est à terre. Je me dis ‘’ ça commence ! ‘’ Et les phénomènes vont se produire crescendo pendant 4 jours.
Les portes sortent de leurs gonds, les tables se déplacent et si nous ne les remettons pas à la place exacte ou elles se trouvaient, une main invisible les remet à l’endroit primitif. Les bibelots se promènent, disparaissent et réapparaissent dans une autre pièce. Des objets qui ne nous appartiennent pas se matérialisent sur les meubles. ( nous les gardons en souvenir) Pendant que nous sommes tous à l’étage, mon billard de 600 kilos change de place ; Il est trop lourd pour le remettre en place, il faudra attendre du renfort. Je passe sur les poltergeists courants, les fauteuils qui traversent la pièce, les ampoules qui disparaissent brusquement par dizaines etc.
L’aventure continue, de plus en plus incroyable. Jean Claude revient des W.C avec un chèque dans la main. ( Avouez que ce n’est pas très normal. Il me le donne en pensant que je l’avais perdu. Je regarde le nom du destinataire : ‘ mademoiselle Pourchier ‘’, ce genre d’humour nous fait sourire. Aucun de nous ne connaît cette personne. JCP téléphone à notre ami Patrick, avocat à Marseille, qui lui dit de jeter ce chèque à la poubelle. Cinq minutes plus tard, le téléphone sonne sur le portable de Jean Claude. Nous entendons la voix de Patrick comme s’il y avait un haut-parleur. Il dit que nous allons recevoir de suite par courrier, le relevé de sécurité sociale correspondant à ce chèque. Je demande à JCP de me passer Patrick. Je lui dis qu’il est impossible, un samedi après midi, de recevoir du courrier, la dernière distribution ayant eu lieu à midi. Avec son calme habituel Patrick me répond : ‘ de quoi tu parles, je n’étais pas au téléphone avec Jean Claude, c’était pas moi ! ‘’ Ma raison vacille, je sens que je vais devenir fou. Ce n’était pas Patrick qui parlait à JCP, et la voix était exactement la même que la sienne. Si Jean Claude est un magicien, c’est le meilleur de la planète, et il devrait être milliardaire. Ces imitations de voix au téléphone vont se produire trois fois, avec des voix d’amis que JCP ne connaît pas. C’est une expérience nouvelle, je ne connaissais pas ce volet du phénomène.
Nous sommes sur la véranda d’été. Les baies vitrées sont fermées pour ne pas faire entrer la chaleur. Un ami physicien vient d’arriver. Il voulait connaître Jean Claude. Ils discutent tous les deux assis dans un fauteuil. Je suis dans la salle de bain. J’entend un fracas épouvantable. J’ai l’impression qu’une partie de la maison s’est effondrée. Je me précipite vers la terrasse. L’énorme porte en bois de trois mètres de haut est tombée sur le carrelage. Le physicien touche les gonds, ils sont chauds. Il constate avec son esprit scientifique que la porte n’a pas pu sortir de ses gonds, et qu’obligatoirement la partie supérieure de ceux-ci à ‘’ traversée ‘’ la matière de la partie inférieure. D’autres physiciens, consultés par la suite arrivent aux même conclusions. Pour les témoins la porte est tombée en silence. J’étais le seul à avoir reçu le bruit amplifié dans la salle de bain.
Nous remettons la porte en place avec difficulté. Quant une autre fois la bibliothèque chargée de livres, s’est déplacée dans la pièce, je me suis fâché, et bêtement je le reconnais, j’ai dit bien fort : ‘’Puisque vous l’avez déplacéé, vous la remettrez en place ‘’ Je ne sais pas à qui je m’adressais. En fin d’après midi, en revenant tous d’une balade, la bibliothèque avait repris sa place, alors que la maison était fermée à clé, et que personne n’était resté enfermé ! Il faut reconnaître que c’est agaçant lorsque l’on sort à ce point de la ‘’ normalité ‘’ et de la ‘’ logique ‘’ !
Juste après avoir remis la porte en place, la boite à courrier ou sont accrochés les torchons de la cuisine, traverse les vitres de la véranda, passe au-dessus des arbres du jardin avec les torchons flottant dans le vent, et continue sa route au-dessus de la rue. Nous nous précipitons tous dehors et nous récupérons le matériel sur le toit d’une voiture. Nous rentrons. Une de mes épées de collection, qui avait disparue depuis la veille, tombe du ciel et vient se planter dans la pelouse devant les pieds de mon ami Richard le physicien. Sur le coup j’ai peur qu’il fasse une crise cardiaque ! En passant devant le portail, Jean Claude me conseille de regarder dans ma boite aux lettres. Pour lui faire plaisir je m’exécute. Je sais qu’elle est obligatoirement vide. Stupeur ! Il y a une feuille de papier pliée en quatre à l’intérieur. Sans doute de la publicité. Il n’y a pas d’enveloppe, pas d’adresse, mais c’est bien le fameux relevé de sécurité sociale que nous avait promis le mystérieux Patrick au téléphone.
Mon ami physicien s’en va, il a eu sa dose pour aujourd’hui, il est interloqué, toutes ses connaissances de la physique traditionnelle sont battues en brèche.
Et maintenant l’aventure la plus incroyable qui pouvait m’arriver. Seule, une vingtaine de ses amis en avaient été témoins avant moi. J’avais beau être prévenu que cela pouvait m’arriver, quand ça arrive c’est hallucinant !
Les femmes sont parties en ville voir les magasins. Je ne trouve plus Jean Claude. Je fouille la maison, le jardin, je l’appelle… PERSONNE ! Au bout d’une demi-heuree, j’ai anormalement chaud, je suis en sueur. Je me dirige vers ma chambre pour me changer. Au moment ou je dirige ma main vers la poignée de la porte, à 30 centimètres de mon visage je me trouve nez à nez avec la tête de Jean Claude qui traverse la porte, puis le corps entier qui lui aussi traverse la porte. Je fais un bond en arrière. Jean Claude est tout pâle, il est courbé, semble très fatigué. Je le soutiens et le conduis vers la terrasse. Je l’installe dans un fauteuil, je lui donne des documents à lire que Richard m’a laissé. Je vais dans la cuisine lui chercher un verre d’eau et je reviens vers la terrasse. Le fauteuil est vide. Plus de Jean Claude !
A nouveau visite de toutes les pièces, du jardin, mais personne, il faut me rendre à l’évidence, il a disparu corps et biens vers une destination inconnue. Le temps passe. Je m’installe à mon bureau pour m’occuper l’esprit. Je suis inquiet, de plus en plus inquiet. Au bout d’une heure, l’atmosphère change. J’ai l’impression de vivre dans une pile électrique, je ne me sens pas bien, j’ai envie de pleurer sans raison apparente. Comme guidé télépathiquement, je regarde la porte d’entrée, fermée à clé au bout du couloir, et je vois …une main, tenant des feuilles de papiers, le bras, puis la tête, puis le corps de Jean Claude qui traversent la porte, sans l’ouvrir. Je pense que j’hallucine. Je me dirige vers JCP. Je vérifie que la porte était bien fermée à clé. Il est blanc, et semble épuisé. Je lui demande à quel endroit il était depuis une heure, Il me répond qu’il ne sait pas, qu’il était ailleurs.
Je ne le quitte plus des yeux. Je m’assois avec lui dans un fauteuil. Le téléphone sonne. C’est mon ami Jean Michel qui habite à 20 kms de chez moi, qui me prévient que les femmes ne rentreront qu’après 18h30. Nous discutons de choses personnelles, dont personne ne peut être au courant. Je raccroche. Jean Claude me demande comment Jean Michel peut-il être au courant que nos compagnes sont en ville ? Il a raison. Je rappelle mon ami J.M.à qui je pose la question. Sa réponse est qu’il ne m’a jamais appelé !!! Autrement dit, une fois de plus, ‘’ quelqu’un ‘’ à pris la voix d’un de mes amis, ce qui pour un bon imitateur est faisable, MAIS nous avons parlé ensemble de sujet que personne ne pouvait connaître, et de plus cette voix nous prévoyait l’avenir beaucoup mieux que madame Tessier puisque nos compagnes sont revenues effectivement vers 18h30, ce que ni elles, ni quiconque pouvait prévoir !
J’ai eu droit le lendemain à une autre forme de disparition que je ne connaissais pas.
Il y a aussi l’histoire de mon chat. Nous sommes dans la salle de billard et discutons tranquillement. ( Il faut essayer de vivre normalement !) Nous entendons un hurlement épouvantable, j’en ai des frissons dans le dos. Il semble que ce cri lugubre vient de mon chat qui est dans l’escalier. La pauvre bête à quatre ampoules allumées dans la gueule. Je le libère. Ce sont les ampoules de mon bureau qui avaient disparues la veille. Virginie était dans le jardin, et téléphonait à un ami de Marseille, qui a demandé d’où provenait ce hurlement ? Incroyable mais vrai !
Je passe sur les combats à l’épée que nous entendions la nuit.
Une dernière histoire extraordinaire qui nous est arrivée, parmi d’autres, en septembre dernier sur la Côte d’Azur. Nous avions passé la journée chez Virginie et Jean Claude. Journée bien sûr ponctuée d’événement plus fantastiques les uns que les autres. Nous rentrons à notre hôtel à 90 kms de chez eux. Mon épouse veut envoyer des cartes postales. Elle me demande le carnet d’adresse rouge. Je me souviens que le matin je l’avais laissé sur le lit avant de partir. Pendant des heures nous fouillons l’appartement et la voiture sans rien trouver. L lendemain matin, j’appelle Jean Claude et lui demande si nous n’avons pas oublié notre carnet chez lui. Notre conversation est subitement coupée par une voix étrange et lugubre qui dit ‘’Je m’en occupe ‘’. Je reste en ligne. J’entends le portable de JCP qui sonne. Un ami lui dit d’ouvrir son ordinateur, car il y a un message pour moi. Je patiente pendant qu’il allume son P.C. Effectivement un message écrit dit ‘’ de ne pas me tracasser, car je récupérerai mon carnet d’adresse dans la journée ‘’ Je vous signale que Jean Claude n’a pas Internet ni d’e-mail ! Il n’en a pas besoin, tout fonctionne sans ces servitudes auxquelles nous sommes astreints.
Nous partons à la plage. JCP m’appelle dans l’après midi sur mon portable. Il a en main mon carnet d’adresse. Accrochez-vous aux branches. C’est la mère de Melle Pourchier, propriétaire du chèque trouvée par Jean Claude dans les WC à Bordeaux, qui l’a rapportée ( Sans doute pour remercier JCP de lui avoir porter son chèque en main propre à son retour de voyage chez moi) Comme vous le constatez nous ne sommes pas dans du simple paranormal !
Je ne peux pas tout vous raconter ce serait trop long.
Bien sûr tous ces évènements se produisent avec la présence de témoins qui peuvent confirmer.
C'est une histoire de fous... Il faut que j'y aille avec une caméra!!!
Yann