Et bien,
Je cherche, je cherche mais je ne trouve pas ces passages qu'on prête au Mahâbhârata
Cependant, sincèrement, je crois que c'est un abus du à une mauvaise traduction.
Il y en a des tas... Un gros? Le jardin d'Eden. Une grosse bévue de traduction. En hébreux le mot qui a donné Eden signifie "terre aride, stérile, désert". Dans ce cas, le jardin d'Eden devrait signifier un jardin aride, désertique et sans vie. Or ce n'est pas le cas, vous le savez.
Bref, ça vient juste d'une mauvaise traduction car la vrai version est : après avoir créer l'homme et la femme, Dieu les place dans le Jardin DANS l'eden, AU MILIEU de l'eden, comprenez "une oasis dans, au milieu du désert."
Voilà un tout petit exemple de mauvaise traduc, quand même très conséquentes. Il y en a des centaines.
Pour en revenir au Mahâbhâratâ, donc, je crois sincèrement que c'est une extrapolation tout droit sortie d'une mauvaise traduction. J'ai une amie qui l'a presqu'entièrement traduit du sanskrit, et comme moi elle n'a pas vu ces passages...
De plus, il faut rentrer dans le contexte, et ce n'est pas en trois lignes que je peux vous y introduire mais il faut savoir que le peuple indien n'a pas, comme les autres peuples, séparés sa littérature "historique" de sa littérature "mythologique". Pour la raison suivante : c'est un peuple hautement spirituel. Pour lui la vie terrestre n'est qu'un illusion par rapport à l'existence metaphysoque. Tout au plus ce qui se passe sur terre reflète l'ordre cosmique. Dans cet état d'esprit, ils n'ont presque pas laissé de littérature "historique". Alors bon,... le mythe est étroitement lié et assimilés à l'histoire, il est impossible de tirer des conclusions de ces textes avant bien des années de recherches...
Je dois encore apprendre à lire le sanskrit, quand ce sera fait et que je l'aurais lu, je penserai à vous donner des nouvelles.
A++
PS: Attention en parlant de l'Atlantide lool... ne sous estimez pas l'importance de l'imagination et des mythes purs. Il y a souvent de la fumée sans feu, contrairement à ce qu'on pense. Les gorgones, les harpies, le sirènes, les yaksa (Hariti l'ogresse)... il y en a pleins, leurs aventures sont fabuleuses (< fable).